vendredi 7 octobre 2016

Science et espace

Espace
L'exploration spatiale
Lunarville


Espace
>>> JUIL2017.  L'engin spatial pour la première mission européenne vers Mercure dévoilé. Le 6 juillet, les agences spatiales européenne (ESA) et japonaise (JAXA) ont dévoilé leur engin spatial qui devrait entamer l'an prochain un voyage de 7 ans vers Mercure. ESA
>>> MARS2017. Pourquoi l'exploit historique de SpaceX menace Ariane Challenges
>>> MARS2017. Un projet révolutionnaire financé par l’UE mène à la découverte de sept planètes Maison de l'Europe Toulouse
>>> FEV2017. [Spatial] Top départ pour Ariane 6    L'Usinenouvelle
>>> Bruxelles dévoile ses ambitions stratégiques dans le spatial
>>> Agences européennes : Vega lance en orbite 5 satellites. Dans la nuit du 15 au 16 septembre, le lanceur européen Vega a lancé 5 satellites depuis le centre spatial guyanais de Kourou
>>> L’Europe valide le programme Ariane-6
>>> oct2016. Une nouvelle stratégie spatiale pour l’Europe.
Cette nouvelle stratégie vise à faire bénéficier au mieux notre société et notre économie de l’espace, en favorisant la compétitivité et l’innovation de notre secteur spatial et en assurant l’autonomie stratégique de l’Europe dans l’espace.




L'exploration spatiale
>>> OCT2017. Exploration de l’univers : « Ne laissons pas l’Europe dans la fiction en regardant faire les autres ». Quand on parle de l’intégration européenne, il est souvent question d’union bancaire, d’euro-bonds ou de souverainetés abandonnées. Didier Schmitt estime, dans une tribune au « Monde », que la puissance de l’Europe se joue surtout dans l’espace.
Par Didier Schmitt (Ancien conseiller scientifique du président de la Commission européenne)Lemonde

>>> Une "deuxième Terre" la porte à côté ? L'étoile la plus proche de nous aurait une planète du type de la Terre en zone habitable



La planète Mars
>>> JUIL2017. Le sol de Mars capable d’éliminer la moindre bactérie. Des chercheurs d’Edimbourg le confirment : la surface de la Planète rouge est recouverte d’un cocktail toxique. LeMonde
>>> Le programme européen ExoMars en difficultés La Croix
>>> L'atterrisseur Schiaparelli s'est écrasé : l'Europe sur Mars, encore raté !








Lunarville, une base européenne sur la Lune

>>> OCT2017. D'immenses tunnels découverts sur la Lune pourraient abriter des villes humaines. A l'intérieur, les humains seraient protégés des radiations, mais aussi des fortes variations de température observées à la surface de la Lune. L'Express
>>> SEPT2017. "Un millier de personnes" sur la Lune d'ici 2050, l'ESA en rêve. L'Agence spatiale européenne continue de croire en son projet Moon Village, qui vise à installer une première colonie sur notre satellite d'ici 2030. L'Express
>>> MARS2016. Un village sur la lune ? ESA
>>> JAN2016. L'ESA souhaite un village sur la Lune pour remplacer l'ISS 20minutes
>>> Un village sur la Lune, l'incroyable projet de l'agence spatiale européenne. Le directeur de l’ESA Jan Wörner pousse un projet de village sur la Lune, qui serait construit d’ici à 2030. Objectif : en faire une base arrière de la conquête de Mars et de l’univers. Challenges




>>> Lunarville : la base lunaire que l'Europe veut construire pour 2030
L'année dernière, l'Agence Spatiale Européenne (ESA) entrait dans l'histoire en faisant atterrir le tout premier appareil sur une comète, Philae. Mais les scientifiques ont déjà les yeux tournés vers l'avenir et leur prochain gros projet : Lunarville, le premier habitat lunaire. Rien que ça ! Pour bâtir cet habitat sur la Lune, l’ESA ferait appel aux technologies les plus avancées. Impression 3D, structures pneumatiques… Lunarville serait implantée dans le cratère Shackleton, un immense trou de plus de 4 km de diamètre au pôle Sud lunaire. Et Johann-Dietrich Wörner, futur directeur de l’ESA, entend bien démarrer la construction dès 2024.
Si l’Agence n’a jamais fait atterrir quoi que ce soit sur la Lune, cela changera dès 2018 – avec un Lunar Lander, au pôle Sud justement. Cette mission permettra d’envisager plus sereinement le grand débarquement de 2024.
Et la mission s’annonce complexe. Le vaisseau contiendra tout le nécessaire pour bâtir cet habitat. Il faudra d’abord déployer un dôme gonflable à la surface. Une fois en place, des robots dotés d’imprimantes 3D créeront un revêtement en dur pour protéger de la terre et la poussière lunaires. Cette couche recouvrira la totalité du dôme, protégeant ainsi les futurs habitants des radiations cosmiques et des impacts de météores. Et les recherches pour y parvenir sont déjà bien engagées.
Mais si la construction de Lunarville pourrait débuter dès 2024 – si tant est que les fonds soit réunis d’ici là -, l’ESA devra résoudre un autre gros défi avant d’envoyer des hommes pour des missions longue durée : « un service de navette permanent devra être mis en place pour les urgences médicales », déclarait Johann-Dietrich Wörner.
Selon l’agence européenne, Lunarville pourrait même, à terme, remplacer l’ISS comme nouvelle base spatiale. 

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L'exploration spatiale entre dans une nouvelle ère. Nous sommes à une époque charnière : après avoir visité la Lune, maintenu des Stations spatiales pendant plusieurs années et envoyé des sondes sur chacune des planètes du système solaire, nous construisons de nouveaux modules habitables pour envoyer des hommes vers Mars et au-delà. Pour y arriver, nous pouvons nous servir de la Lune comme d'un tremplin vers le cosmos. Et c'est exactement ce que compte faire l'Agence Spatiale Européenne (ESA).
L’ESA vient de confirmer sa volonté d’établir une base permanente sur la Lune d’ici 2030 à l’issu d’une conférence de 2 jours intitulée Moon 2020-2030 – A New Era of Coordinated Human and Robotic Exploration. Cette conférence a réuni 200 scientifiques et experts du monde entier pour discuter des projets, des missions et des technologies de la prochaine décennie.
L’ESA a réuni un consortium pour coordonner les actions à mener. En plus de sociétés privées, cette base lunaire serait construite avec l’aide des Etats-Unis, du Japon, du Canada, de la Russie et de l’Inde. Pour l’instant, la Chine a son propre programme spatiale et la coopération ne semble pas être d’actualité.
La structure lunaire en illustration de cet article a été imaginé par Foster + Partners qui fait partie du consortium réuni par l’ESA. Pour construire la base, il suffirait d’envoyer une structure cylindrique sur la Lune. Une fois le cylindre en place, celui-ci servirait à gonfler un dôme qui deviendrait alors le structure centrale de la base. (voir vidéo)
On se servirait alors de la poussière lunaire pour construire une coque protectrice autour du dôme. Cette coque servirait principalement à protéger les astronautes des radiations solaires. Ce même consortium avait démontré en 2013 qu’il était possible d’utiliser de la régolithe lunaire (la roche que l’on trouve sur la Lune) pour imprimer une structure en 3D. En utilisant un simulacre de roche lunaire (de la roche basaltique), ils ont construit une pierre d’1,5 tonnes.
Cette base lunaire sera construite à proximité du pôle Sud de la Lune où il y a un ensoleillement quasi-permanent. D’ailleurs, une mission prévue en 2020 par Roscosmos (l’agence spatiale russe) et l’ESA a pour objectif principal de poser un atterrisseur chargé de détecter des sites possibles. Le retour de l’homme sur la Lune devient de plus en plus concret.







>>> Une maison spatiale préfabriquée pour habiter sur Mars :  LeFigaro
>>> Le rover ExoMars (diaporame) : LeNouvelObs
>>> Je vis comme sur mars isolé depuis trois mois et jusqu'ici tout va bien. L'Express  
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