La provocation du 10 septembre a entraîné en Pologne une vague de messages sur les réseaux sociaux en provenance de comptes russes et biélorusses attribuant pour partie la responsabilité de l’incident à l’Ukraine ou à l’OTAN.
(...) « Nous avons analysé au cours de cette nuit quelque 200 000 mentions [statuts, messages, commentaires] relayant la narration russe, soit 200 à 300 mentions par minute, souligne Michal Fedorowicz, président du collectif Res Futura, expert dans l’analyse des réseaux sociaux et de leur impact sur l’opinion publique. Lemonde
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