>>> AVR2020 Dans l'est de l'Ukraine en guerre, le coronavirus vient comme une double peine. (...) Les républiques fantoches de Donetsk et Louhansk, contrôlées par le Kremlin, seraient en effet des « bombes à retardement » selon le Bureau de l’ONU pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA). Les autorités auto-proclamées ont nié l’épidémie pendant longtemps, avant d’adopter des mesures de confinement fin mars, dans la foulée des annonces de Vladimir Poutine à Moscou. RFI
La Russie ferait mieux de s'occuper de ses hôpitaux, de ses soignants. Elle préfère continuer sa salle guerre à l'Ukraine
>>> AVR2020 Le Donbass face au coronavirus, un désastre annoncé ?
Dans l’est de l’Ukraine, les combats se poursuivent. Mais un deuxième front vient de s’ouvrir, celui du coronavirus, et dans un camp comme dans l’autre, personne n’est prêt à y faire face. CI
>>> DEC2019 L'échange de prisonniers avec les séparatistes prorusses fait débat en Ukraine
Lors d’un échange massif de plus de 200 prisonniers avec les séparatistes pro-russes, l’Ukraine a vu le retour de 76 des siens, mais elle a payé pour cela très cher, en incluant dans la transaction cinq officiers Berkout, présumés responsables de la mort de plusieurs dizaines de manifestants lors de la révolution de Maïdan. Volodymyr Zelenskiy va devoir faire accepter ce sacrifice lourd à son opinion publique. RFI
>>> DEC2019 Ukraine: le patriarcat de Moscou rompt les relations avec le patriarche d'Alexandrie. L'Eglise orthodoxe russe a annoncé ce jeudi rompre les relations avec le patriarche orthodoxe Théodore II d'Alexandrie et de toute l'Afrique qui a reconnu la nouvelle Église orthodoxe ukrainienne, indépendante de la tutelle religieuse de Moscou. LeFigaro
>>> DEC2019 Gaz terrestre
contre gaz offshore au coeur du conflit russo-ukrainien Euractiv
La Russie ferait mieux de s'occuper de ses hôpitaux, de ses soignants. Elle préfère continuer sa salle guerre à l'Ukraine
>>> AVR2020 Le Donbass face au coronavirus, un désastre annoncé ?
Dans l’est de l’Ukraine, les combats se poursuivent. Mais un deuxième front vient de s’ouvrir, celui du coronavirus, et dans un camp comme dans l’autre, personne n’est prêt à y faire face. CI
>>> DEC2019 L'échange de prisonniers avec les séparatistes prorusses fait débat en Ukraine
Lors d’un échange massif de plus de 200 prisonniers avec les séparatistes pro-russes, l’Ukraine a vu le retour de 76 des siens, mais elle a payé pour cela très cher, en incluant dans la transaction cinq officiers Berkout, présumés responsables de la mort de plusieurs dizaines de manifestants lors de la révolution de Maïdan. Volodymyr Zelenskiy va devoir faire accepter ce sacrifice lourd à son opinion publique. RFI
>>> DEC2019 Ukraine: le patriarcat de Moscou rompt les relations avec le patriarche d'Alexandrie. L'Eglise orthodoxe russe a annoncé ce jeudi rompre les relations avec le patriarche orthodoxe Théodore II d'Alexandrie et de toute l'Afrique qui a reconnu la nouvelle Église orthodoxe ukrainienne, indépendante de la tutelle religieuse de Moscou. LeFigaro
>>> DEC2019 Le russe Gazprom
accepte de payer 2,9 milliards de dollars à son partenaire
ukrainien
Le règlement du différend, sur fond
de tensions géopolitiques, pourrait mettre fin à un long conflit
gazier entre la Russie et l’Ukraine. Lemonde
>>> DEC2019 Les tensions
avec la Russie forcent l’Ukraine à réformer son activité gazière
Pendant des décennies, l’Ukraine a
exclusivement compté sur les pipelines russes pour son
approvisionnement, car ils lui rapportent de lucratives taxes de
transit. Mais les tensions politiques depuis 2014 et les bas prix du
GNL ont changé la donne. Euractiv>>> DEC2019 Ukraine : l'UE prolonge de six mois les sanctions économiques contre la Russie. Les secteurs du pétrole, de la défense et des banques russes vont continuer à être visés par des sanctions européennes pendant six mois supplémentaires, ont décidé jeudi les dirigeants de l'UE. Objectif : mettre la pression sur Moscou au sujet du conflit en Ukraine. France24
>>> DEC2019 Explosion du vol MH17 : la Russie accusée d’avoir laissé un suspect retourner dans l’est de l’Ukraine.
Les Pays-Bas avaient demandé aux
autorités russes l’extradition de cet homme que les enquêteurs
soupçonnent d’avoir été impliqué dans le crash de l’avion
en 2014.
Le parquet néerlandais a accusé
Moscou, lundi 2 décembre, d’avoir « autorisé »
un suspect ukrainien dans l’explosion du vol MH17 à quitter la
Russie. L’homme serait retourné dans l’est de l’Ukraine en
refusant d’agréer la demande d’extradition des Pays-Bas.
Vladimir Tsemakh, un ancien responsable
des séparatistes prorusses, avait été remis aux autorités russes
en septembre dans le cadre d’un vaste échange de prisonniers entre
Moscou et Kiev. Les Pays-Bas avaient immédiatement demandé à
Moscou l’extradition de l’homme soupçonné par les enquêteurs
néerlandais d’avoir été impliqué dans le crash de l’avion,
en 2014, au-dessus de l’est de l’Ukraine.
« Le ministère public a
conclu que la Russie avait volontairement autorisé M. Tsemakh à
quitter la Fédération de Russie et avait refusé d’exécuter la
demande néerlandaise, alors qu’elle était tenue de le faire en
vertu de la Convention européenne d’extradition », a
dénoncé lundi le parquet néerlandais dans un communiqué. La
Convention européenne d’extradition, entrée en vigueur en 1957,
est régie par le Conseil de l’Europe, dont la Russie est membre
depuis 1996. Selon le parquet, Moscou a affirmé ne pas être en
mesure de localiser M. Tsemakh.
298 morts
Vladimir Tsemakh, 58 ans, avait
été arrêté en juin par les services secrets ukrainiens à son
domicile dans le territoire aux mains des séparatistes. Il avait
ensuite été transféré en Russie dans le cadre d’un échange
historique de prisonniers, malgré les appels des Pays-Bas à ne pas
le remettre à Moscou. Les autorités ukrainiennes avaient toutefois
différé l’échange pour permettre au parquet néerlandais
d’entendre M. Tsemakh.
Le Boeing de la compagnie Malaysia
Airlines, parti d’Amsterdam pour Kuala Lumpur le 17 juillet 2014,
avait été touché en plein vol par un missile Buk de conception
russe au-dessus de la zone de conflit armé avec les séparatistes
prorusses dans l’est de l’Ukraine. Les 298 personnes à son
bord avaient péri.
Trois Russes et un Ukrainien seront
traduits en justice en mars 2020 aux Pays-Bas pour leur rôle
dans cette tragédie. Ils seront probablement jugés par contumace,
la Russie et l’Ukraine ne transférant pas hors de leurs frontières
leurs ressortissants poursuivis à l’étranger.
Lemonde>>> DEC2019 Guerre du Donbass. La création d’une zone tampon entre forces ukrainiennes et séparatistes permet de pacifier la ligne de front. Mais elle provoque aussi la rancœur des militaires et fait naître des craintes d’une « capitulation » face à Poutine. Lemonde
>>> NOV2019 « La Russie veut faire vivre l'Ukraine à genou », avertit le cinéaste Oleg Sentsov libéré des geôles russes en septembre. L'Ukrainien s'exprimait hier devant le parlement de Strasbourg où il est venu recevoir le prix Sakharov. Cette déclaration intervient au moment où les relations se réchauffent entre Kiev et Moscou pour mettre un terme au conflit militaire. Sur le plan économique la Russie a-t-elle encore les moyens de dominer l'Ukraine ? RFI
"L'agression russe contre l'Ukraine n'est pas terminée" (France24)
>>> OCT2019 De l’eau dans le gaz entre Kiev et Moscou
>>> OCT2019 L'Ukraine et les séparatistes font reculer leurs troupes
L'Ukraine et les séparatistes prorusses ont annoncé mardi le début du retrait de leurs troupes dans un secteur clé de la ligne de front dans l'est du pays, suscitant à Kiev des craintes de "capitulation" face à la Russie. Lobs
>>> OCT2019 A Kiev, une marche contre la « capitulation » de l’Ukraine face à Moscou
>>> Donbass: le président ukrainien critiqué pour son attitude face à Poutine
Des milliers d’Ukrainiens ont
manifesté pour mettre en garde le chef de l’Etat dans sa gestion
du conflit dans l’Est du pays.
La guerre, Andrii Kozintchouk n’en
veut plus. « J’ai eu peur. J’ai vu tomber mes amis. Je
sais ce que survivre signifie », explique le militaire,
grand gaillard de 34 ans. Envoyé au front, de 2014 à 2016,
pour combattre les séparatistes pro-Russes et leur parrain russe de
la région de Louhansk, dans l’est de l’Ukraine, Andrii
Kozintchouk est désormais vétéran d’un conflit qui aura fait, en
cinq ans, plus de 13 000 victimes. Mais il affirme : « S’il
faut reprendre les armes, je repartirai au front pour remplacer ceux
qui s’en vont. Je veux la paix, oui, mais pas à n’importe
quel prix. On ne peut pas abandonner notre terre. L’est de
l’Ukraine, c’est notre peuple, et c’est aussi celui de
Zelensky. »
Andrii Kozintchouk faisait partie des
quelque 10 000 Ukrainiens à être descendus sur la place
Maïdan, à Kiev, et dans une trentaine de villes du pays, dimanche
6 octobre, pour dire non à la « capitulation »
et « mettre en garde » le président Volodymyr
Zelensky. Lemonde>>> OCT 2019 Ukraine: des milliers de manifestants contre une "capitulation" face à Moscou
Kiev (AFP) - Au moins dix mille personnes ont manifesté dimanche à Kiev leur opposition à l'attribution d'une plus grande autonomie aux territoires séparatistes pro-russes, qui pourrait être accordée dans le cadre des efforts de paix prônés par le président Volodymyr Zelensky.
"Non à la capitulation", scandaient les protestataires sur la place de l'indépendance, plus connue à Kiev sous le nom de Maïdan, brandissant des banderoles adressant leur mise en garde au président ukrainien Volodymyr Zelensky. Lobs
>>> OCT2019 Oleg Sentsov: «Nous n’accepterons jamais que la Russie ait pris la Crimée»
Des relations entre Paris et Moscou à la situation en Ukraine : entretien avec le réalisateur ukrainien Oleg Sentsov, détenu pendant cinq ans dans une prison russe. RFI
>>> SEPT2019 Inquiétude en Ukraine face au « prix de la paix » dans le Donbass avec Moscou
Le président Volodymyr Zelensky, est
soupçonné d’être prêt à faire de lourdes concessions à son
homologue russe, Vladimir Poutine, pour sortir du conflit.
Ils étaient plusieurs centaines à
crier leur révolte sous les fenêtres du palais présidentiel à
Kiev. Pas assez, sans doute, pour inverser le cours de l’histoire,
mais suffisamment, pensent-ils, pour alerter le fougueux
président ukrainien, Volodymyr Zelensky, qu’à trop vouloir la
paix, il pourrait bien perdre la guerre.
A la veille du week-end des 21 et
22 septembre, les pancartes brandies dénoncent « la
trahison normande » pour évoquer le sommet dit « du
format Normandie », censé réunir les présidents d’Ukraine
et de Russie aux côtés du chef de l’Etat français et de la
chancelière allemande, afin d’obtenir une résolution du conflit
dans le Donbass dans le cadre des accords de Minsk, conclus en 2015
mais jamais appliqués. Une réunion de ce sommet, après des années
d’impasse diplomatique, est espérée d’ici quelques semaines.
Mais la foule redoute que, de guerre lasse, Volodymyr Zelensky,
arrivé au pouvoir il y a six mois à peine, fasse d’irrémédiables
concessions à la Russie lors de ces tractations. Une lettre ouverte
signée par des artistes, journalistes et anciens députés a aussi
été transmise au président pour le mettre en garde. Lemonde>>> SEPT2019 L'Ukraine alerte les Occidentaux sur une levée des sanctions visant Moscou.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a mis en garde vendredi les Occidentaux contre toute levée des sanctions frappant Moscou pour l'annexion de la Crimée et son soutien aux séparatistes prorusses, au moment où Paris opère un rapprochement avec la Russie. RFI
>>> SEPT2019 La Russie et l’Ukraine échangent 35 prisonniers chacun, dont le cinéaste ukrainien Oleg Sentsov [Mais à quel prix !]
Négocié en coulisse depuis des mois, cet échange concerne également 24 marins ukrainiens arrêtés [illégalement] par les gardes-côtes russes en 2018 au large de la Crimée.
(...) Mais le plus grand flou concernait Vladimir Tsemakh, arrêté le 27 juin lors d’une spectaculaire opération des services secrets ukrainiens dans le territoire rebelle prorusse de la « République populaire de Donetsk ». Cet Ukrainien, commandant séparatiste, ancien de l’armée soviétique, a été inculpé de « terrorisme » par un tribunal de Kiev, une charge habituellement utilisée contre les rebelles. Mais c’est son rôle dans le crash du Boeing MH17 de la Malaysia Airlines, le 17 juillet 2014 (298 morts), qui semble avoir motivé son arrestation. A la surprise générale, un tribunal de Kiev l’a remis jeudi 5 septembre en liberté conditionnelle. Le Kremlin aurait exigé qu’il fasse partie de l’échange de prisonniers.
C’est pourtant « un suspect-clé » dans l’enquête sur le drame du vol MH17, ont protesté 40 députés européens qui ont appelé Volodymyr Zelensky à ne pas l’extrader vers la Russie. Cette libération a également crispé au Pays Bas - dont 196 ressortissants ont péri dans cette catastrophe. Le gouvernement néerlandais regrette « profondément » cette décision et a consulté Kiev « à plusieurs reprises et au plus haut niveau » afin d’empêcher qu’il soit remis à la Russie, a ainsi écrit le ministre néerlandais des affaires étrangères, Stef Blok, dans une lettre à la Chambre basse (Lemonde)
Faut-il se réjouir de cet échange ? Pour mémoire, l'ONU et toutes les organisations de défense des droits de l'homme appelaient à la libération sans condition des ukrainiens illégalement emprisonnés. Est-il normal que la Russie "monnaye" leur libération ? Est-il normal qu'on échange des victimes contre des criminels ? Non. Bien sûr, on se réjouit que les ukrainiens puissent regagner leurs foyers. Mais les criminels russes doivent être pourchassés. Et j'espère que cet échange ne sera pas considéré comme un signe de bienveillance de Poutine. D'autre part, les néerlandais qui protestent (à raison) contre la libération de Tsemakh (sans doute aura-t-il une médaille en Russie) devraient joindre leur protestation à des actes, par exemple en soutenant militairement les combattants ukrainiens face à la Russie.
>>> SEPT2019 Des passeports ukrainiens pour les russes persécutés
(...) Après les répressions des manifestations anti-Poutine à Moscou, le président ukrainien Volodymyr Zelenskiy a signé un décret facilitant l’attribution de la citoyenneté ukrainienne pour les Russes persécutés dans leur pays. « Pour la protection des droits de l’homme et des libertés ». Volodymyr Zelenskiy tient sa promesse de faciliter l’obtention de la citoyenneté ukrainienne pour les victimes de l’autoritarisme et des répressions politiques. RFI
>>> SEPT2019 Ce prisonnier de Kiev que Moscou veut absolument récupérer
Explication
L’Ukrainien Volodymyr Tsemakh devrait
faire partie de l’échange « massif » de
prisonniers bientôt finalisé entre l’Ukraine et la Russie. Le
Kremlin a exigé que cet ancien responsable de la défense
antiaérienne lui soit livré.
Une quarantaine de députés
européens ont appelé l’Ukraine à ne pas extrader ce « suspect
clé » de la destruction du vol MH17 au-dessus du Donbass
LaCroix>>> SEPT2019 Les députés ukrainiens votent la levée de leur immunité parlementaire
En Ukraine, 373 députés ukrainiens sur 450 ont voté ce 3 septembre pour lever leur propre immunité parlementaire. Cette décision historique du nouveau Parlement contrôlé par la majorité fidèle au président Volodymyr Zelenskiy était l’une des mesures les plus attendues par les Ukrainiens, selon les sondages, et une étape fondamentale du plan de lutte contre la corruption. RFI
>>> SEPT2019 L’administration Trump bloque l’aide militaire promise par le Congrès à l’Ukraine (Opex360)
>>> AOUT2019 Sur le front de l'est de l'Ukraine, le recul des troupes fait monter les peurs
Tant que les troupes ukrainiennes stationnaient dans son village, Anna se sentait en sécurité. Mais depuis qu'elles ont commencé à se retirer de Stanytsia Louganska, sur la ligne de front dans l'est de l'Ukraine, elle craint un retour des séparatistes. Challenges
25 juillet 2019
>>> L’Ukraine arraisonne un pétrolier russe sur le Danube. Ce navire est accusé par l’Ukraine d’être lié à l’incident naval qui a opposé les deux pays fin 2018, lors duquel la Russie avait capturé 24 marins ukrainiens. Lemonde
19 juillet 2019
>>>
L'Ukraine propose à Moscou d'échanger Sentsov contre un journaliste
(…) Oleg Sentsov
avait été arrêté en mai 2014 en Crimée après avoir participé à
des protestations contre l'annexion de cette péninsule au sud de
l'Ukraine. Son cas est le plus connu parmi les dizaines d'Ukrainiens
détenus en Russie et considérés comme des "prisonniers
politiques" par Kiev.
Condamné à 20 ans de prison pour "terrorisme" et
"trafic d'armes" en Russie à l'issue d'un procès qualifié
de "stalinien" par l'ONG Amnesty International, ce
réalisateur de 43 ans est détenu dans une prison du Grand nord
russe. L'Ukraine, l'Occident et de nombreuses célébrités
internationales ont appelé maintes fois à sa libération. Lobs
>>> Donbass, la guerre oubliée
en Europe
Bombardements quotidiens, corridors
humanitaires, champs de mine, et beaucoup de haine. Le conflit du
Donbass possède tous les ingrédients d’une guerre fratricide,
mais le reste du monde détourne le regard.
Parce qu’elles n’impliquent pas
d’hydrocarbure, les hostilités dans l’est de l’Ukraine sont
presque perçues comme des querelles de voisinage. Les responsables
politiques occidentaux sont de moins en moins nombreux à mettre en
lumière la souffrance des millions d’Ukrainiens qui ont tout
perdu : leur famille, leur propriété, leur pays, leur liberté.
Un
reportage d’Euroefe,
Euractiv28 mai 2019
>>> Les États-Unis envisagent de livrer des missiles anti-navires à l’Ukraine Opex360
27 mai 2019 (marins ukrainiens emprisonnés)
>>> La Russie refuse de
libérer les marins ukrainiens qu'elle détient. LaTribune
Quelle surprise ! Ils n’ont pas encore compris que la Russie ne comprenait que la force.
C’est pourtant basique : une
justice sans son glaive, ça vaut que dalle !
25 mai 2019 (marins ukrainiens emprisonnés)>>> Le tribunal international maritime demande à Moscou de libérer « immédiatement » 24 marins ukrainiens. L’armée russe avait arraisonné, en novembre 2018, trois navires ukrainiens qu’elle accusait d’être entrés illégalement dans les eaux territoriales russes. Kiev dénonce une violation du droit maritime. (Lemonde)
29 avril 2019 (passeports)
>>> Dans une réponse ironique à Poutine, le président élu ukrainien propose des passeports aux Russes. La réplique n’aura pas tardé. Le président élu ukrainien, Volodymyr Zelensky, en réponse à son homologue russe, Vladimir Poutine, a proposé lundi 29 avril des passeports ukrainiens aux Russes qui « souffrent » de l’autoritarisme de ce dernier. Lemonde
24 avril 2019 (nouvelle provocation russe pour tester le nouveau président ukrainien)
>>> Passeports russes pour l'est de l'Ukraine: Zelensky appelle à renforcer les sanctions
Le nouveau président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé ce mercredi les Occidentaux à renforcer les sanctions contre Moscou, qui a décidé de simplifier l'octroi de la nationalité russe aux habitants des régions séparatistes de l'est de l'Ukraine. Lefigaro
12 avril 2019 (un novo-collabo français arrêté en France)
>>> « L’ambassadeur »
des séparatistes ukrainiens en France mis en examen pour
proxénétisme. Hubert
Fayard a été interpellé le 2 avril. Il fait face à des
accusations de proxénétisme et est actuellement incarcéré à la
maison d’arrêt d’Aix-Luynes (Bouches-du-Rhône).
Il y a un an et demi, Hubert Fayard
ouvrait en grande pompe, à Marseille, la « représentation
officielle » de la « République populaire de
Donetsk » en France – en réalité en une simple association
de loi 1901 occupant un petit bureau, avenue du Prado.
Cet ancien responsable du Front
national était devenu un sympathisant de la cause des rebelles
prorusses du Donbass après un voyage dans cette région de l’est
de l’Ukraine. La mission que s’était fixée Hubert Fayard :
« Réinformer » sur la situation de cette région
dont le contrôle échappe à Kiev, et défendre en France les
intérêts de ses amis de Donetsk. Une gageure : une procédure
judiciaire est toujours en cours, en vue de la dissolution
de l’association.
Hubert Fayard doit désormais affronter
une bourrasque d’un tout autre genre. Selon une information de
l’agence russe RIA-Novosti, confirmée par Le Monde,
le responsable d’extrême droite fait face à des accusations de
proxénétisme et est actuellement incarcéré à la maison d’arrêt
d’Aix-Luynes (Bouches-du-Rhône). Selon le parquet
d’Aix-en-Provence, l’homme a été interpellé le 2 avril,
mis en examen le 4 avril et placé le même jour en détention
provisoire. Une autre source judiciaire évoque sans plus de détails
« des filles des pays de l’Est qui travailleraient pour
lui ». (Lemonde)
11 avril 2019 (Donbass occupé)
>>> Donbass : la guerre au fil
de l’eau
L’approvisionnement en eau potable
de l’est de l’Ukraine dépend d’un réseau qui serpente de part
et d’autre de la ligne de front où s’opposent depuis 2014 les
forces de Kiev et les séparatistes prorusses. Les employés
de la compagnie publique Voda Donbassa se retrouvent en première
ligne pour l’entretien d’un pipeline vital. Libération
>>> Un système de guerre électronique russe dernier cri a été repéré dans le sud-est de l’Ukraine
Á plusieurs reprises, la Mission spéciale de surveillance de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe [OSCE], chargée d’observer la situation dans le Donbass [sud-est de l’Ukraine, ndlr] a rapporté avoir repéré des moyens de guerre électronique russe déployés dans des secteurs tenus par les séparatistes pro-Moscou qui défient les forces gouvernementales ukrainiennes Opex360
7 avril 2019 (Transcarpathie)
>>> En Transcarpathie, l’art russe de l’intox fait des étincelles
Ingérences russes (4/5). La Russie de Vladimir Poutine s’attache depuis plusieurs années à étendre par tous les moyens ses réseaux et son influence à l’étranger. Parmi son cyberarsenal, les opérations de manipulation, comme celle menée dans la ville ukrainienne d’Oujgorod, en 2018. Lemonde
4 avril 2019 (hackers russes)
>>> L’Ukraine, cible préférée des hackeurs russes
Ingérences russes (2/5). La Russie de Vladimir Poutine s’attache depuis plusieurs années à étendre par tous les moyens ses réseaux et son influence à l’étranger. Kiev est ainsi cyberharcelée méthodiquement par Moscou depuis la crise de Crimée, en 2014. (Lemonde)
1er avril 2019 (présidentielle)
>>> L'humoriste Zelensky,
"bouffée d'air frais" pour les Russes
Moscou (AFP) - Le succès électoral
du comédien ukrainien Volodymyr Zelensky est observé avec
curiosité et souvent une certaine bienveillance par les Russes,
non seulement parce qu'il appelle au dialogue avec Moscou mais aussi
parce qu'il partage leurs codes culturels.
Certains observateurs estiment que les
autorités russes verraient d'un bon oeil l'élection de ce novice en
politique susceptible de faire des faux pas, validant sa théorie
d'une Ukraine en plein chaos après lui avoir tourné le dos.
(…) plus que la promesse d'un
dialogue renoué, certains Russes, selon la sociologue russe
Olga Krychtanovskaïa, pourraient se frotter les mains en
prévision d'"un désastre imminent chez l'ancien peuple-frère
qui s'apprête à élire un comique à la tête de leur État".
(Lobs)
>>> Russie : derrière les barreaux, la longue peine des prisonniers politiques ukrainiens
Ils sont plus de 70 prisonniers politiques ukrainiens derrière les barreaux russes. Le JDD a rencontré la fille du journaliste Roman Souchtchenko, condamné à 12 ans de camp, et Hennadiy Afanasiev, qui a lui été échangé en juin 2016. (LeJDD)
20 mars 2019 (élections)
>>> En Ukraine, l’élection
présidentielle face aux risques de cyberattaque et de désinformation
Les Ukrainiens doivent élire leur
nouveau président le 31 mars. Les experts craignent des
cyberattaques et une intensification de la propagande russe.
(Lemonde)18 mars 2019 (Crimée occupée)
>>> La Crimée russe ne fait plus chavirer les cœurs.
REPORTAGE - À l'heure des festivités pour le cinquième anniversaire de l'annexion de la péninsule par Moscou, la popularité du président russe décline à la frontière avec l'Ukraine, dans les terres minières frappées par le dénuement et les désillusions. (Lefigaro)
18 mars 2019 (novo collabos français sanctionnés)
>>> L’Ukraine va sanctionner des élus français pour leur présence en Crimée
A l’occasion du cinquième anniversaire de l’annexion de la Crimée par la Russie, le gouvernement ukrainien vise les « soi-disant observateurs internationaux » à l’élection présidentielle russe de mars 2018, dont quatre élus français.
(...) Se trouveraient visées au moins 35 personnes dont quatre élus français, si l’on s’en tient à la liste dressée à l’époque par l’European platform for democratic elections (Epde). Y figurent ainsi Jérôme Lambert, député socialiste de Charentes, Jacques Myard, ancien député des Yvelines (Les Républicains), Eric Doligé, ex-sénateur du Loiret (Les Républicains) et Hubert Fayard, élu local du Front national puis de Debout la France de la région Provence-Côte d’Azur. (Lopinion)
>>> Le pont de Crimée, symbole de l’annexion de la péninsule ukrainienne
La Russie met les bouchées doubles pour achever la construction d’un chemin de fer parallèle au pont sur le détroit de Kertch. (Lemonde)
6 mars 2019 (Otan)
>>> Otan : Le commandant suprême des forces alliées en Europe appelle à renforcer la défense de l’Ukraine (Opex360)
23 février 2019 (Ukrainiens persécutés en Russie)
>>> Roman Souchtchenko, emprisonné en Russie et exposé à Paris
Le centre culturel ukrainien expose une série de dessins exécutés depuis sa cellule du centre de détention à Moscou par le journaliste ukrainien Roman Souchtchenko.
Par Anna Jaillard Chesanovska (Journaliste ukrainienne)
Entre 2016 et 2018, durant sa détention provisoire au centre Lefortovo, le journaliste ukrainien Roman Souchtchenko a exécuté une vingtaine de dessins à l’aide des produits alimentaires et de la vie quotidienne qu’il avait à sa disposition : thé, jus de betterave rouge, pelures d’oignon, antiseptique vert, étaient devenus des outils au service de son art derrière les barreaux.
Interdit de visite et privé de tout instrument, à part son stylo à bille et un crayon à papier, le journaliste s’est mis à dessiner des paysages chers à son cœur, un moyen d’oublier des conditions de détention extrêmement difficiles.
Rappelons que le journaliste Roman Souchtchenko, correspondant à Paris de l’agence de presse Ukrinform, a été interpellé à Moscou lors d’une visite qu’il rendait à sa famille en 2016. Il est accusé en Russie d’être un espion pour le compte de l’Ukraine. Le Ministère des Affaires Etrangère d’Ukraine a démenti l’appartenance du journaliste aux services secrets. Malgré l’absence de preuves, la justice russe l’a condamné à 12 ans de détention en régime sévère.
L’exposition propose des copies agrandies des œuvres, initialement exécutées sur des petites feuilles de papier, fournies à l’artiste pour sa correspondance et transmises par le bais de courrier. Une lettre transmise par Roman à son épouse a été lue le jour de l’inauguration. Rédigée en russe, compte tenu de l’interdiction de correspondre en ukrainien, elle a été traduite en français :
« Chers Amis, C’est un grand honneur et une grande chance pour moi d’être exposé dans une toute nouvelle qualité d’artiste! J’avoue sincèrement que mes dessins sont loin d’être une perfection.,D’un côté, il faut tenir compte des conditions dans lesquelles ils ont été créés : un grand stress émotionnel, une imagination complètement bloquée.
Peut-être, dans certains de mes dessins les ombres vont étonner par leur aspect monochrome. Je vous assure que ce n’est pas une erreur optique, mais bien la pauvreté de la palette d’un prisonnier. Pour continuer ma confession, je voudrais dire que j’ai créé mes dessins sans me soucier de leur destin. Durant le temps de ce travail j’ai puisé dans chacun d’eux tout ce qu’ils pouvaient me donner. Je vous propose donc de voir des villes, des coins de la nature et des gens tels que je les vois.
Je ne me suis pas encore habitué à mon nouveau statut, je ne cherche pas le succès, je ne crains pas le fiasco. Je ne connais pas l’amertume des propos critiques ni la douceur des louanges. J’ai tout simplement cherché une satisfaction dans le travail et la libération de mon esprit du poids de mes pensées. Je m’ennuyais fortement sans ma famille : sans mon fils, ma fille, mon épouse. Je rêvais de la liberté, je pensais à elle…
Je voudrais terminer ma lettre par les mots de l’écrivain qui a commencé à parler la langue française avant de savoir parler sa langue maternelle. Celui qui a appris à créer en se référant aux œuvres de Voltaire et de Maupassant, qui aimait et comprenait très bien les Français, l’auteur d’un des chefs-d’œuvre de la littérature mondiale notamment sur la vie de Paul Gauguin. Il s’agit d’un passage de « L’Envoûté » (The Moon and Sixpence) de William Somerset Maugham. Le maître, en parlant de la liberté de l’esprit a écrit : “Les étoiles semblent briller plus fort si tu les regardes non pas du haut de la colline mais d’en bas d’une fosse d’égout ».
Vue mon expérience, je suis finalement d’accord avec lui. Cependant, Chers Amis, je dirais qu’il arrive que les yeux se fatiguent à regarder des choses brillantes. Les larmes apparaissent, nous faisant signe qu’il est temps de nous déplacer vers le haut de la colline, pour ne pas perdre la vue…Très sincèrement et bien à vous, Roman S. »
L’exposition est visible jusqu’au 4 avril au centre culturel Ukrainien, 22 avenue de Messine 75008 Paris, sur rendez-vous en composant le 01 43 06 07 37. (BlogsLibération)
20 février 2019 (casques bleus)
>>> L’Ukraine réclame à nouveau à l’ONU une opération de Casques bleus
Le président ukrainien, Petro Porochenko, a appelé mercredi le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres à proposer des options pour déployer une force de Casques bleus dans l’est du pays, souhaitée depuis 2015 par Kiev mais à laquelle s’oppose Moscou. « Nous sommes prêts pour une discussion constructive » sur une telle force et « le secrétaire général pourrait envoyer dans le Donbass une mission d’évaluation technique pour élaborer des options », a-t-il dit devant l’Assemblée générale de l’ONU.
Le Donbass, situé dans l’est de l’Ukraine, est une région sous contrôle de séparatistes prorusses. « Nous avons besoin d’un mandat du Conseil de sécurité » pour déployer une force de paix dans l’est de l’Ukraine, a rappelé le porte-parole de l’ONU, Stéphane Dujarric, lors de son point de presse quotidien.
En pratique, le secrétaire général des Nations unies a le pouvoir d’envoyer une mission d’évaluation technique en Ukraine mais il est peu probable qu’il le fasse sans un assentiment de la Russie, l’un des cinq membres permanents du Conseil de sécurité, indique-t-on au siège de l’ONU.
Il est « temps de remettre la Russie à sa place » en la privant de son droit de veto au Conseil de sécurité lorsqu’il s’agit de l’Ukraine, a estimé Petro Porochenko, candidat à sa réélection fin mars, en parlant d’une « guerre cruelle, laide et inutile ».
Le président ukrainien a aussi réclamé la libération par la Russie des 24 marins capturés en novembre par l’armée russe près de la Crimée, annexée en 2014 par Moscou. En quelque cinq ans, le conflit dans l’est de l’Ukraine entre forces ukrainiennes et séparatistes prorusses a fait près de 13.000 morts. (Metrotime.be)
20 février 2019 (Maïdan)
>>> Ukraine: 5 ans après, les violences de Maïdan toujours impunies
En Ukraine, la réforme du système judiciaire a été une priorité de l’exécutif pendant les 5 années qui ont suivi la révolution de l’EuroMaidan, à tout le moins en théorie. Sur le terrain, les résultats sont maigres. Comme symbole de cet échec, le manque de résultat des enquêtes sur les violences meurtrières de la révolution. Plus de 100 personnes y ont perdu la vie. Il n’y a que 9 personnes en prison. Et l'indignation gronde.
Les images des violences sur la place Maidan avaient fait le tour du monde en 2014. Le village révolutionnaire de la place de l’indépendance en feu, les charges de police, les tireurs d’élite non-identifiés sur les toits, les protestataires qui tombent dans les rues... (RTBF)
19 février 2019 (Donald Tusk à Kiev)
>>> Il ne peut y avoir d'Europe sûre sans une Ukraine sûre, a déclaré M. Tusk à Kiev.
Le président Tusk s'est rendu en Ukraine pour le cinquième anniversaire de la Révolution de la dignité. Le 19 février, il a rendu hommage aux manifestants tombés sur la place Maïdan et a pris la parole devant le parlement ukrainien. (ConseilEuropéen)
14 février 2019 (guerre)
>>> Dans l'Ukraine en guerre, des femmes "prêtes à combattre" (Yahoo [vidéo] )
13 janvier 2019 (Culte. Eglise orthodoxe ukrainienne)
>>> En Ukraine, après le schisme, les convulsions religieuses.
Environ 300 paroisses ont quitté le giron de Moscou depuis la reconnaissance de l’indépendance de l’Eglise orthodoxe ukrainienne, le 6 janvier. (Lemonde)
11 février 2019 (construction européenne)
>>> L’Ukraine, un pays d’opportunités à découvrir avec la CCI FP.
La Chambre de Commerce et d’Industrie France Pologne, en partenariat avec la Chambre de Commerce et d’Industrie France Ukraine, organise du 20 au 21 mars 2019 une mission commerciale pour rencontrer des partenaires d’affaires en Ukraine, qui malgré la situation politique compliquée, reste un pays à fort potentiel de développement. (LePetitJournal)
7 février 2019 (construction européenne)
>>> Ukraine Vers une adhésion à l’UE et à l’Otan
Le Parlement ukrainien a inscrit jeudi dans sa Constitution l’objectif d’adhésion à l’Union et à l’Otan, accentuant la distance avec le Kremlin. Gouvernement et parlementaires devront donc travailler en ce sens. Le président pro-occidental, Petro Porochenko, a jugé ce vote «historique». Selon certains observateurs, cette disposition, qui intervient à deux mois de la présidentielle, permettrait d’éviter un revirement en cas de victoire d’un candidat prorusse. Les députés ont par ailleurs voté pour l’interdiction de la présence d’observateurs russes lors du scrutin. (Libération)
4 février 2019 (culte)
>>> Quand la guerre entre la Russie et l'Ukraine provoque aussi un schisme religieux (LaLibre) : intronisation du primat de la nouvelle Eglise orthodoxe (RFI)
31 janvier 2019 (sanctions)
>>> Ukraine: les Etats-Unis perdent patience avec la Russie. Représentant spécial américain pour l’Ukraine, Kurt Volker dénonce les agressions continues de Moscou dans le Donbass, la Crimée et le détroit de Kertch.
Les ministres européens des Affaires étrangères réfléchiront ce mois-ci à l’opportunité d’instaurer de nouvelles mesures à l’encontre de la Russie pour sanctionner son comportement en mer d’Azov à l’encontre de l’Ukraine. Bruxelles reproche à Moscou d’avoir arraisonné en novembre trois bâtiments de la marine ukrainienne dans le détroit de Kertch, qui sépare la mer Noire et la mer d’Azov. Le projet de sanctions défendu par les partisans de la fermeté, Lituanie, Suède, Grande-Bretagne et Pologne en tête, est désormais soutenu par le Danemark et la Slovaquie. Ces pays jugent que la piste diplomatique, privilégiée par Paris et Berlin, est inefficace. (Lopinion)
Evidemment que la piste diplomatique est inefficace. La France est bien trop molle, tout comme l'Allemagne (sans doute à cause des réseaux de Schröder) . Hélas, l'attitude molle de Hollande se poursuit avec Macron. On attend de Macron, qui se prétend "européen", qu'il fasse bloc avec les autre pays européens
29 janvier 2019 (cyberguerre)
>>> Avec l'élection présidentielle du mois de mars, les cyberattaques se multiplient en Ukraine Clubic
28 janvier 2019 (Culte)
>>> À Skybyn, en Ukraine, d’un Patriarcat l’autre.
À Skybyn, dans le centre de l’Ukraine, la paroisse a fait le choix de se rallier à la nouvelle Église ukrainienne. Cette transition s’est faite ici sans heurts tandis qu’ailleurs, le Patriarcat de Moscou dénonce pressions et intimidations. (LaCroix)
27 janvier 2019 (Prague et Kiev)
>>> Tomáš Petříček entame une visite en Ukraine, dont la sécurité est une priorité pour la diplomatie tchèque.
Le ministre des Affaires étrangères tchèque s’envole, ce dimanche, pour une visite en Ukraine au cours de laquelle il rencontrera notamment le président Petro Porochenko, son homologue Pavlo Klimkine, le président du Parlement Andriy Paroubiy ou encore des représentants des Tatars de Crimée, qui protestent contre l’annexion par la Russie de la péninsule ukrainienne.
Tomáš Petříček a indiqué que le soutien de l’unité territoriale et de la souveraineté de l’Ukraine, des réformes et des relations entre Prague et Kiev feraient des principaux thèmes de ces rencontres. Mardi, le chef de la diplomatie se rendra dans l’est de l’Ukraine, y compris au port de Marioupol, théâtre en novembre dernier d’une confrontation militaire ouverte entre Kiev et Moscou. RadioCz
>>> JAN2019. Les contentieux [le mot est faible...] ne cessent de croître entre la Russie et l'Ukraine
Si le conflit dans le Donbass reste le point de tension principal, les litiges russo-ukrainiens s'accumulent dans tous les domaines au moment où l’Ukraine entre en période préélectorale. Slate
3 janvier 2019 (Crimée occupée)
>>> La Russie érige un mur entre la Crimée occupée et le reste de l'Ukraine (France24info)
26 novembre 2018 (agression en mer)
>>> Ukraine-Russie: le kriegspiel de Poutine
La marine russe a tiré et arraissonné 3 navires ukrainiens. Bien plus qu'un incident, une étape dans le plan de Poutine. (Lexpress)
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