Un bon coup de torchon serait nécessaire...
>>> En m'approchant de mon kiosque à journaux favori, ce matin, j'ai senti une odeur bizarre. Une odeur assez mauvaise. Je passais outre, me dirigeais vers le Monde, et puis, tournant la tête vers l'étagère de droite, je constatais que l'odeur était là, toute près. Je crû comprendre : il y avais là le JDD. Mais pourtant, non, la puanteur était plus forte que la veille. Alors je regardai d'un peu plus près, pour mieux comprendre. C'est là que je vis, en Une du Figaro, la sale gueule de Sarkosy. Oui, la puanteur venait de là. On nous ressortait du placard Sarko-la-serpillière-de-Poutine. Et la serpillière, encore toute humide d'un liquide nauséabond datant de 2014, ânonnait la même propagande poutinienne qu'il le faisait alors. Sur la Crimée, sur l'Ukraine. Ce mec, Sarkosy, (mais attendez... il n'est pas en prison, lui ? Ah non. Pas plus que Fillon... En France, il y a des racailles intouchables!) , s'est fait humilié par le criminel de guerre Poutine lorsque ce dernier annexa une partie de la Géorgie. Et depuis, il lui mange dans la main. Le président de la République le plus minable qu'on ait eu - et on en a eu beaucoup ces dernières décennies-, c'est bien lui. Hum, voyons, Claude Goasguen, Hélène Carrère d’Encausse... eux on en entendra plus parler... Voyons... Sarkosy, Mariani, Makine, Fillon ... peut-être que, bientôt ...
>>> Les propos de Nicolas Sarkozy « pas acceptables », dénonce l’ambassadeur d’Ukraine en France (Lobs)
>>> https://www.lexpress.fr/politique/entre-nicolas-sarkozy-et-jean-luc-melenchon-une-romance-russe-ATFSOBT6QZDA5N2NFLGFNJ7ZYQ/
>>> Militaires, intellectuels, politiques... Qui sont vraiment les prorusses en France ?
Une mouvance multiforme s’agite pour légitimer les agissements du Kremlin à l’encontre de Kiev. Sept familles se distinguent.
Mardi 11 juillet, 10 heures du matin : tout juste arrivé à Vilnius pour le sommet de l’Otan, Emmanuel Macron annonce la livraison de missiles à longue portée aux Ukrainiens. Sur Twitter, c’est le déchaînement : "Macron va finir par nous entraîner dans une guerre contre la Russie" (Sophia Chikirou, LFI) ; "Je ne comprends pas qu’Emmanuel Macron ne soit pas intégralement concentré vers l’organisation d’une conférence pour la paix (Marine Le Pen) ; "Comme pour l’Afghanistan, la Libye et la Syrie, on vous ment sur l’Ukraine" (l’essayiste controversé Idriss Aberkane) ; et jusqu’à Fanny Ardant, qui fustige les "laquais des Américains".
On pensait qu’ils avaient perdu de leur superbe après la décision, insensée, de Vladimir Poutine d’envahir l’Ukraine (LExpress)
Ces minables, ces traîtres, font honte à une France qui déjà se distingue par le peu d'aide qu'elle fournit à l'Ukraine, au regard des autres pays occidentaux. Il est vrai que Macron, influencés probablement par de grands patrons qui voulaient faire du business avec la Russie, et sans doute très très naïf (ce qui est incroyable pour un chef d'Etat) s'est laissé entraîner dans la voie de la lâcheté (on pourra lire ce livre, très intéressant). Il est vrai qu'avant lui, Hollande a été très très mou avec Poutine (la seule chose de bien qu'il ait faite est de ne pas livrer les navires Mistral) . Il est vrai aussi qu'avant lui, Sarkosy s'est fourvoyé lorsque la Russie a annexé une partie de la Géorgie ; sans doute a-t-il été le plus minable, car non content de se faire insulter, il est ensuite devenu l'un des meilleurs lécheurs de bottes de Poutine.
Agents de l'étranger
Ennemis intérieurs (eh oui, il ne faut jamais l’oublier. La France n’est pas que le pays de De Gaulle. C’est aussi le pays de Pétain, des lâches, des autruches, et des collabos).
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