Aujourd’hui, il s’agit de Mme Karin Kneissl, ex ministre autrichienne des Affaires étrangères (la même qui avait dansé la valse avec son nabot de maître, le criminel de guerre Poutine) .
La voilà, donc,
finalement, qui rejoint ledit criminel de guerre en Russie, pour y
diriger « un groupe de réflexion » (Euractiv).
Elle rejoindra en Russie du beau monde : Strauss-Kahn, Schröder,
Depardieu (il a changé d’avis, mais a conservé
la nationalité franco-russe. Ben, oui, quand même, pour se faire
soigner, on est mieux France!) , Fillon (il a changé
d’avis aussi), Sarkosy ((peut-être bientôt ?
Si est condamné à de la prison et que Poutine l’humilie un peu
plus, l’hypothèse d’une fuite auprès de son maître n’est pas
à écarter) , Mélenchon et LePen et la fine fleur des
neuneus extrémistes et/ou néo-cons français (ce serait
vraiment une bonne nouvelle), l’académicienne Hélène
Carrère-d’Encausse (trop tard, elle est morte),
l’académicien Makine (lui préfère, hélas,
rester en France. Comme agent de l’étranger, payé grassement par
nos impôts!), Claude
Goasguen (lui
aussi, il est mort. Bon débarras. Les poutinolâtres, c’est comme
ça que je les aime), Salvini (pas encore. Peut-être
plus tard, comme Fillon?) …
Ce que j’espère, c’est que cette poutinolâtre-ci, Mme Karin Kneissl, elle y reste, en Russie, auprès de mon maître. Qu’elle prenne la nationalité russe. Et qu’on n’en entende plus parler en Europe.
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