- Pour les principaux dirigeants européens, qui se réunissent ce dimanche 2 mars à Londres autour du Premier ministre britannique Keir Starmer, c’est désormais clair : l’alliance historique entre les États-Unis et l’Europe compte moins pour Donald Trump que de conclure, à n’importe quel prix, un cessez-le-feu avec la Russie sur le dos de l’Ukraine. (OF)
- La violente altercation survenue entre Donald Trump, J. D. Vance et Volodymyr Zelensky, à la Maison Blanche, vendredi 28 février, illustre l’hostilité de la nouvelle administration américaine à l’égard de l’Ukraine et signe un point de rupture dans la relation entre les alliés. Poutine a enregistré un remarquable succès dans sa guerre contre l’Ukraine, vendredi 28 février. Il l’a obtenu sans tirer le moindre missile, sans avoir même à prononcer un mot. Ce succès, Donald Trump le lui a offert dans le bureau Ovale de la Maison Blanche ... (Edito Lemonde)
- Un double cadeau pour le Kremlin. En Russie, des blogueurs Z pro-guerre aux cercles du pouvoir, la séquence à la Maison Blanche a été suivie attentivement. Elle fait la «Une» de tous les médias samedi, entre jubilation devant l'Ukraine abandonnée et anticipations de la fracture du camp occidental. LesEchos
- Européens, à la croisée des chemins. Être ou disparaître ? Européens, nous sommes à la croisée des chemins. Ne nous y trompons pas, la capitulation de l’Ukraine serait notre défaite. En plus du martyr d’un peuple violemment attaqué, elle sonnerait le glas de la paix dont nous jouissons depuis quatre-vingts ans. C’est dire l’importance de la rencontre de Londres, ce dimanche. OuestFrance
- Après le clash avec Trump, les alliés européens musclent leur soutien à l’Ukraine et se réunissent à Londres (Challenges)
- Face à Trump, un binôme Macron-Merz porteur d'espoir LesEchos
- L’Europe à l’heure des choix LT
- Orban et Fico cherchent à torpiller le sommet du 6 mars à Bruxelles. Les Premiers ministres hongrois et slovaques, alignés sur Donald Trump, menacent de ne pas valider les conclusions du sommet du 6 mars. Les Etats membres pro-Ukraine se préparent à les contourner. LesEchos
- Si l'Europe refuse encore et encore de voir la réalité (la réalité, c'est qu'elle a des ennemis : la Russie, les islamistes, peut-être bientôt les Etats-Unis, la Chine, ) (Lemonde) , alors elle disparaîtra .
- « Les Européens doivent dessiner une Europe post-Amérique, et l’Ukraine sera leur premier grand test ». Les pays du Vieux Continent n’ont plus d’autre choix que de tenter d’imaginer un avenir où les Etats-Unis n’assureront pas leur sécurité, estime la spécialiste de sécurité et défense européenne Gesine Weber, dans une tribune au « Monde ».
- Revue de presse internationale. À la Une: le réveil de l’Europe (RFI)
- "Nous devons urgemment réarmer l'Europe", a déclaré dimanche la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen à l'issue d'un sommet crucial à Londres sur la sécurité européenne et la guerre en Ukraine. LT
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