Le Danemark
Un des trois pays scandinaves
Capitale : Copengague
Capitale : Copengague
Société
>>> JAN2018. Au Danemark, quatre écoles sur dix «libérées» des téléphones portables. Depuis octobre, de nombreux établissements danois ont décidé d'eux-mêmes d'interdire à titre expérimental l'usage des smartphones à leurs élèves. La mesure, soutenue par le gouvernement, divise ce pays où les enfants sont hyperconnectés. LeFigaro
>>> MARS2016. Le Danemark, le pays le plus heureux du monde Lepoint
Erasmus
>>>
JUIL207. Mon
année Erasmus au Danemark : « On grandit tous après une
expérience comme celle-là ». Partie
un an à Roskilde près de Copenhague, Jeanne (21 ans), étudiante à
Sciences Po Lille raconte son expérience Erasmus, une parenthèse
attendue dans une scolarité intense. LavoixLetudiant
Danemark et Union européenne
>>>
DEC2015. Les Danois votent contre une coopération policière
renforcée avec l’UE
Les
Danois ont rejeté par référendum une participation de leur pays
aux programmes européens de sécurité. Le non, défendu par
l’extrême gauche et le Dansk Folkeparti (Parti du peuple danois),
pourtant soutien au Parlement du gouvernement, a obtenu 53,1 %
des suffrages, contre 46,9 % pour le oui, selon des résultats
définitifs.
L’enjeu
de ce scrutin était de savoir si le Danemark voulait continuer à
être dans Europol, l’agence intergouvernementale chargée de la
lutte contre le crime organisé, les trafics et le terrorisme. Le
traité de Lisbonne a changé la donne et, pour continuer à en faire
partie, le Danemark devait renoncer à certaines de ses exemptions,
obtenues après qu’il eut rejeté le traité de Maastricht,
en 1992. Le non triomphant, le Danemark s’exclut
donc d’Europol, du moins jusqu’à négociation d’un accord
séparé.
Le
premier ministre, Lars Lokke Rasmussen, a reconnu la victoire du non
au référendum. Il s’est efforcé de ne pas livrer une
interprétation négative du résultat :
« Les
raisons pour lesquelles les Danois ont refusé de choisir ce que nous
proposions sont probablement liées au fait qu’il y a ce sentiment
d’incertitude étant donné que l’Europe est actuellement
confrontée à d’autres problèmes majeurs que nous n’avons pas
véritablement réglés. »
« Plus
d’UE ? Non merci »
Le
référendum, le huitième soumis aux électeurs du royaume
scandinave depuis celui sur son adhésion à l’UE en 1972,
confirme la défiance de l’opinion danoise à l’égard
du projet européen,
mais aussi la grande forme du Parti du peuple danois.
Cette formation anti-immigration,
premier parti de droite, a fait campagne sur le thème « Plus
d’UE ? Non merci », séduisant une partie des
nombreux électeurs indécis.
Initialement
prévu en 2016, ce référendum a été avancé afin d’éviter
des interférences avec celui que le Royaume-Uni doit convoquer avant
2017 sur son appartenance européenne. Ce résultat devrait
d’ailleurs conforter toutes les forces, dans les divers pays de
l’UE, et surtout au Royaume-Uni, qui militent pour un retour vers
davantage de souveraineté nationale.
Le problème de l'immigration
>>>
MARS2017. Cinquante
mesures musclées sur l’immigration, cela valait bien un gâteau.
La
ministre de l’Immigration danoise, Inger Støjberg, a suscité un
tollé dans son pays en publiant sur les réseaux sociaux une photo
d’elle célébrant le cinquantième durcissement de la législation
sur l’immigration.
CourrierInt
>>>
MARS2017. Au Danemark, Inger Stojberg, ministre de
l’immigration et de la provocation
Propos
choquants, mensonges éhontés et humour cynique, Inger Stojberg,
ministre de l’immigration et de l’intégration du Danemark, ne
recule devant rien pour « défendre » son pays contre
l’immigration. LeMonde
>>>
JAN2016. Le Danemark raidit sa position sur l’immigration. Le
Parlement danois a achevé jeudi l’examen du texte prévoyant la
confiscation des biens des migrants d’une valeur supérieure à
1 340 euros. La loi devrait être adoptée mardi. LeMonde
>>> AOUT2017. Le Danemark légifère contre les Roms. Adoptée en urgence en juin dernier, une loi contre la mendicité visant les gens du voyage qui affluent en nombre vers Copenhague, peut désormais valoir deux semaines de prison ferme aux contrevenants. LefigaroLe problème de l'islamisme et du terrorisme islamiste
>>>
FEV2016. Islamisme:
un an après les attentats de Copenhague, le Danemark, divisé, se
souvient RTBF
>>>
FEV2015. Fusillade à Copenhague
après un débat sur l'islamisme et la liberté d'expression
Franceinter
Le problème de la Russie et du poutinisme
>>> AVR2017. Le Danemark accuse la Russie de piratage informatique. Des pirates russes se seraient introduits dans des messageries électroniques du ministère danois de la Défense. RFI
>>> MARS2015. L’incroyable menace russe contre le Danemark OPEX360
>>>
JAN2017. Le
Danemark dans le viseur de l’armée russe ? Epochtimes
>>>
MARS2015. Bouclier antimissile: la
Russie menace le Danemark. Les navires de guerre danois deviendront
des cibles pour les missiles nucléaires russes si Copenhague
persiste à vouloir s'associer au système de défense antimissile de
l'Otan, déclare l'ambassadeur de Russie au Danemark. BFMTV
International
>>>
DEC2014. Arctique. A son tour,
le Danemark revendique le pôle Nord CourrierInt
La République tchèque
Un des quatre pays du V4
Capitale : Prague
Capitale : Prague
>>> JAN2018. Le scientifique JIŘÍ DRAHOŠ, le plus fort des candidats "anti-Zeman".
Président de l’Académie tchèque des Sciences jusqu’en mars 2017, Jiří Drahoš est une personnalité respectée dans les milieux scientifique, intellectuel et politique. Cet éminent spécialiste en physique-chimie se veut être un chef de l’Etat honnête et intègre, un président qui unit et cultive la société tchèque. Une manière de se démarquer de son adversaire Miloš Zeman qu’il affrontera au second tour de l’élection présidentielle. RadioPraha>>> JAN2018. Présidentielle tchèque. Le pro-russe Milos Zeman face à un pro-européen au second tour OuestFrance
>>> AOUT2017. Prague veut faire partie du noyau dur européen, mais sans l’euro. La République tchèque veut intégrer le noyau dur de l’UE, mais pas sa monnaie. Prague souhaite plutôt se concentrer sur la défense commune. Euractiv
>>> FEV2017. République tchèque et Slovaquie veulent simplifier la politique de cohésion. Les délégations nationales tchèque et slovaque au Comité des régions viennent de présenter une opinion commune sur l’avenir de la politique de cohésion après 2020. Elles y identifient sept priorités et principes communs pour la prochaine période de programmation. Euractiv
>>> DEC2016. Prague va ouvrir un centre contre le terrorisme, les menaces hybrides et la propagande. Le 1er septembre dernier, le BiS, le service de contre-espionnage tchèque, avait parlé, dans son rapport annuel, d’une « guerre de l’information » menée dans le pays via un réseau de groupes de « marionnettes » et d’agents de propagande susceptibles d’être utilisés à des fins de déstabilisation. Opex360
>>> DEC2016. Prague va ouvrir un centre contre le terrorisme, les menaces hybrides et la propagande. Le 1er septembre dernier, le BiS, le service de contre-espionnage tchèque, avait parlé, dans son rapport annuel, d’une « guerre de l’information » menée dans le pays via un réseau de groupes de « marionnettes » et d’agents de propagande susceptibles d’être utilisés à des fins de déstabilisation. Opex360
Le problème de la Russie poutinienne
>>> Propagande russe en République Tchèque. Quarante-sept ans après le « Printemps de Prague », la République tchèque est-elle en train de connaître une nouvelle invasion ? C'est ce que pensent certains, qui s'inquiètent de l'apparition d'une quarantaine de sites internet prorusses, en langue tchèque et slovaque, depuis l'annexion de la Crimée. Le dernier en date a été lancé en mars par l'agence Sputnik, nouveau nom de la Voix de la Russie. Légitimation de l'opération en Crimée, soutien aux séparatistes est-ukrainiens, diatribes anti-OTAN ou antioccidentales, si la propagande russe touche encore quelques nostalgiques de l'ère soviétique, elle rappelle surtout de très mauvais souvenirs à la population tchèque. (Charlie Hebdo n°1187).
A Prague, la population n'apprécie pas forcément les relais poutiniens. Exemple ici, où une politicienne française poutinophile et europhobe se fait huer.
>>> Les agents de Poutine [en République Tchèque]. « Sortir du brouillard russe et prendre enfin au sérieux la défense de la liberté que nous avons reconquise en 1989 et que le Kremlin et ses services secrets cherchent de nouveau à saper. » Tel est l’objectif du livre que son auteur Ondřej Kundra a intitulé « Putinovi agenti » (Les agents de Poutine). Publié par les éditions BizBooks, le livre a été nominé pour le prix Magnesia Litera. RadioPraha (en français)
>>> SEPT2016. Prague, un nid d’espions russes. Selon le rapport annuel des services de renseignement tchèques, les deux tiers de la mission diplomatique russe à Prague seraient des espions. CourrierInt
>>> DEC2016. Face aux rumeurs du web, les Tchèques lancent une cellule anti-désinformation SFRnews
>>> JAN2017. Le président tchèque fustige une initiative contre la propagande russe. Le ministère de l’Intérieur tchèque a monté une structure pour surveiller et analyser « les menaces hybrides » à la sécurité, visant surtout les campagnes de désinformation russes. L’initiative déplaît au président. Euractiv
Energie
Immigration extra-européenne : la saine vision
politique de la République Tchèque en matière d'immigration
Divers
>>> AVR2016. La République tchèque est morte, vive la Tchéquie ! Lemonde
>>> JAN2018. Un traité bilatéral France-Italie pour relancer le couple franco-italien RFI
>>> SEPT2017. Naval militaire : selon Rome, l'alliance France-Italie peut être étendue à l'Allemagne Europe1
>>> SEPT2017. Marco Minniti, apparatchik de l’ombre devenu « M. Anti-migrants » en Italie. Le ministre de l’intérieur, qui a négocié l’arrêt du trafic en Libye dans des conditions opaques, est devenu très populaire. LeMonde
>>> AOUT2017. Le maréchal Haftar menace les navires italiens qui seront déployés dans les eaux territoriales libyennes Opex360
>>> AOUT2017. Le Parlement italien a donné son feu vert à une mission navale en Libye Opex360
>>> AOUT2017. Migrants : l’Italie déploie une flotte militaire au large de la Libye.
>>> AOUT2017. Philippe Maystadt: "N’isolons pas l’Italie !". Migrants, Libye, chantiers navals, ligne Lyon-Turin… : l’Italie se sent trahie par ses voisins, et principalement par la France. Lalibre.be
>>> AOUT2017. Vu d’Italie. Nationalisation de Saint-Nazaire : Bruno Le Maire tente de rattraper le coup Courrierinternational
>>> MARS2017. Les nouveaux amis italiens de Poutine. Après la Ligue du Nord, lundi, le Mouvement cinq étoiles de Beppe Grillo pourrait signer un partenariat avec Russie unie, le parti de Vladimir Poutine. OuestFrance
Energie
>>> AOUT2017. Le lac de Côme passe au tout électrique Euractiv
La Roumanie a interdit vendredi de survol un avion transportant le vice-Premier ministre russe Dmitri Rogozine en raison des sanctions européennes l'empêchant de se rendre dans l'UE, a-t-on appris de source ministérielle. Lorientlejour
Les dérives de la Hongrie d'Orban : Orban et sa poutinolâtrie jouent contre l'UE
Les dérives de la Hongrie d'Orban : lois liberticides, populisme, poutinisme
>>> AOUT2017. La
Hongrie, repaire de l’extrême droite mondiale. La « démocratie
illibérale » fermée aux réfugiés du premier ministre Viktor
Orban attire des nationalistes d’Europe et des Etats-Unis. Lemonde
>>> MAI2015. Peine de mort en Hongrie: quelle mouche a donc piqué Viktor Orban? RFI
La Hongrie et le bon sens de Victor Orban sur le problème des migrants
Pologne et Europe
>>> AOUT2017. Crise diplomatique entre la France et la Pologne. (...) En 2016, déjà, Paris avait considéré comme un «camouflet» et une «trahison» la rupture du contrat de vente de 50 hélicoptères militaires. (...) L'UE ne s'y est pas toujours bien prise avec les membres turbulents de l'Est, sous-estimant le danger que représente toujours pour eux la Russie et méprisant leur refus d'une immigration musulmane.
LeFigaro
>>> AOUT2017. Le PiS, au pouvoir depuis 2015, reste populaire avec 35 % d’opinions favorables… C’est un problème très sérieux, c’est un défi pour nous les démocrates. C’est une leçon pour l’opposition, qui doit comprendre que le rêve de la société ce n’est pas seulement la liberté, mais aussi la sécurité. Le PiS n’a pas les moyens de sa politique sociale, mais les nouvelles allocations familiales versées par le gouvernement ont plus de poids, pour certains Polonais, que les analyses sur la situation budgétaire (entretien avec un opposant au PIS , (Ouestfrance)
>>> JUIL2017. EXCLUSIF. Lech Walesa : « Pourquoi je reprends le combat en Pologne » Ouestfrance
>>> AOUT2017. L’indépendance de la justice mise en cause Taurillon
>>> JUIL2017. Le recul du pouvoir polonais montre la force des sociétés civiles L'Obs
>>> JUIL2017. Le président polonais surprend (positivement) l'UE L'Echo
>>> JUIL2017 L’Union européenne se dit prête à lancer la plus lourde procédure de sanction contre la Pologne. Bruxelles a durci le ton envers Varsovie et sa réforme de la Cour suprême, qui pourrait aboutir à la révocation des juges. La procédure pourrait déboucher sur une suspension de ses droits de vote. LeMonde
>>> JUIL2017. VIDEO. La crise politique en Pologne expliquée en quatre minutes LeMonde
>>> JUIL2017. La Pologne se transforme en pays autoritaire et anti-démocratique L'Obs
>>> JUIL2017. Manifestations, menaces de sanctions européennes... Pourquoi la situation en Pologne est inquiétante FranceTVinfo
>>> JUL2017 L’Espagne s’allie à la Pologne contre la directive sur les travailleurs détachés Euractiv
>>> La Pologne participera aux opérations contre l' Etat islamique Infonews
>>> La Pologne défend ses projets controversés devant le Parlement européen LeMonde
>>> 50000 manifestants à Varsovie pour défendre la démocratie LeMonde
>>> 80000 personnes manifestent contre le gouvernement LeMonde
De mauvais signaux
- un pays que l'on croyait très europhile. ayant le plus bénéficié de l'UE, notamment de ses aides.
- un des pays qui était en pointe contre Poutine , et qui a été suivi (mollement, certes, mais tout de même...) par l'UE
- Problème : il semble que ce pays ne soit nullement européen mais plutôt nationaliste et dans une spirale destructrice quant aux institutions démocratiques et à l' Etat de droit
>>> Le drapeau européen prié d'aller voir ailleurs LesEchos
>>> Le gouvernement polonais se met à l'école de la révolution Orban en Hongrie LaCroix
>>> L'UE inquiète de la victoire du PIS LeMonde
>>> La Pologne, fille ingrate de l'Europe Libération
>>> Pologne : les eurosceptiques triomphent, l'Europe tousse L'Obs
>>> En Pologne, le risque d'une dérive autoritaire Libération
>>> Andrzej Adamczyk, coup de froid sur la Pologne Sauvonsleurope
>>> Etat de droit, que se passe-t-il en Pologne ? FranceCulture
Pologne et Ukraine
>>> Le soutien continu de la Pologne aux aspirations de l’Ukraine à constituer un État indépendant et arrimé à l’ouest du continent européen ne s’explique pas seulement par la proximité géographique et la volonté de tenir la Russie à distance. L’émotion et la mobilisation des citoyens polonais rappellent en effet que des liens historiques forts les attachent à leur grand voisin, comme le montre le destin croisé des villes de Lviv et de Wrocław. Courrierpologne
Pologne et Russie
>>> JUIL2017. Pologne : les accointances russes d’un ministre-clé. Très antirusse, Antoni Macierewicz, chargé de la défense, est pourtant en lien avec des proches de Moscou LeMonde
>>> AVR2016. Pour la Pologne, la Russie est plus menaçante que l'Etat islamique Opex360
>>> JUIL2017. L’armée polonaise affaiblie par les purges du PiS. Lemonde
>>> MARS2017. La Pologne annule sa participation à l’Eurocorps. La décision de Varsovie d’une « réduction d’engagement » au corps européen de défense est jugée avec sévérité à Bruxelles. Lemonde
>>> MARS2017. La Pologne claque la porte de l’Eurocorps, par rancoeur politicienne. Une erreur stratégique (V2) Bruxelles2
>>> Polish armed forces 2015. Youtube
Energie
>>> JUIN2016. La Pologne réduit sa dépendance au gaz russe. L'entrée en service du terminal d'importation de Swinoujscie va permettre à la Pologne de diversifier ses approvisionnements de gaz naturel liquéfié et de sortir de sa dépendance à Gazprom. Lefigaro
Bicyclette
Histoire. Quand la Pologne redevenait européenne, après l'épisode soviétique
>>>
SEPT2017. Prague n’accueille aucun réfugié, mais estime en faire
assez. Le Premier ministre tchèque, Bohuslav Sobotka, est cependant
convaincu que son pays en fait assez. « La République tchèque
est prête à poursuivre son assistance intensive à l’Italie, à
la fois sur son territoire et dans les pays tiers d’où proviennent
les migrants », a-t-il déclaré.
(…)
Prague et Rome préparent un projet
commun sur la réintégration des réfugiés en Côte d’Ivoire.
« Nous fournirons une aide matérielle à cette région,
notamment dans les secteurs des logements et des soins de santé »,
a expliqué Hana Malá, porte-parole du ministère tchèque de
l’Intérieur.
Le Premier ministre tchèque a par
ailleurs souligné que depuis le début de la crise, « un
million d’euros ont été versés par la République tchèque au
service de garde-côte libyen, et le même montant pour les activités
de lutte contre le trafic d’êtres humains dans le Sahel ».
Comme l’Italie, le gouvernement de
Prague estime que le renforcement des garde-côtes libyen est un
élément clé pour stopper la vague de migrants arrivant en Europe.
C’est aussi pour cette raison que la République tchèque a
participé, à hauteur d’un million d’euros, via le Fonds
d’affectation spéciale pour l’Afrique. Euractiv
>>>
FEV2017. Prague appelle à une immigration «différente» Euractiv
Divers
>>> AVR2016. La République tchèque est morte, vive la Tchéquie ! Lemonde
L'Italie
1 des 19 membres de la Zone €uro
Capitale : Rome
Capitale : Rome
>>> JAN2018. Un traité bilatéral France-Italie pour relancer le couple franco-italien RFI
>>> SEPT2017. Naval militaire : selon Rome, l'alliance France-Italie peut être étendue à l'Allemagne Europe1
>>> SEPT2017. Marco Minniti, apparatchik de l’ombre devenu « M. Anti-migrants » en Italie. Le ministre de l’intérieur, qui a négocié l’arrêt du trafic en Libye dans des conditions opaques, est devenu très populaire. LeMonde
>>> AOUT2017. Le Parlement italien a donné son feu vert à une mission navale en Libye Opex360
Rome cherche ainsi à lutter contre les trafiquant et réduire en amont les départs de migrants. Plusieurs ONG refusent de signer le code de conduite proposé par le gouvernement Gentiloni. LesEchos
>>> AOUT2017. Philippe Maystadt: "N’isolons pas l’Italie !". Migrants, Libye, chantiers navals, ligne Lyon-Turin… : l’Italie se sent trahie par ses voisins, et principalement par la France. Lalibre.be
>>> AOUT2017. Vu d’Italie. Nationalisation de Saint-Nazaire : Bruno Le Maire tente de rattraper le coup Courrierinternational
>>> AOUT2017. Macron s'est-il vengé en nationalisant STX ?L'ancien maître de Bercy n'a pas oublié son échec face à ses partenaires transalpins en mai 2016 sur l'affaire STMicro.
Quel sens faut-il donner à la nationalisation temporaire – mais brutale aux yeux des acheteurs potentiels italiens – des chantiers navals de Saint-Nazaire ? En prenant provisoirement le contrôle de STX France, le gouvernement souhaite rééquilibrer l'accord de partenariat avec le candidat italien au contrôle, Fincantieri. Le but ? Parvenir à une répartition 50-50 du capital, au lieu d'un partage à 54% pour les Italiens et 46% pour les Français, tel que le prévoyait l'accord conclu sous François Hollande. L'Obs
>>> MARS2017. Les nouveaux amis italiens de Poutine. Après la Ligue du Nord, lundi, le Mouvement cinq étoiles de Beppe Grillo pourrait signer un partenariat avec Russie unie, le parti de Vladimir Poutine. OuestFrance
Energie
>>> AOUT2017. Le lac de Côme passe au tout électrique Euractiv
La Roumanie
Capitale : Bucarest
>>> JAN2018. Après la Pologne et la République Tchèque, risque de contagion sur la Roumanie ?
Après la Hongrie et la Pologne, l'Europe menace la Roumanie. La Commission européenne vient de mettre en garde la Roumanie de ne pas mettre en œuvre une réforme de la justice adoptée le mois dernier qui serait trop indulgente vis-à-vis des élus ou des dirigeants accusés de corruption. Europe1
>>> AOUT2017. Roumanie, la société civile en état d’alerte. Comme jamais depuis la chute de Ceausescu en 1989, la société civile se mobilise en Roumanie. Plus de six cent mille personnes ont manifesté cet hiver contre un gouvernement qui tentait d’assouplir les lois anti-corruption. De ce sursaut civique, des initiatives ont émergé, comme celle de Rezistenta TV, une chaîne fondée par Mihai et Andi, citoyens devenus activistes, et diffusée sur internet chaque semaine. Arte
>>> AOUT2017. Roumanie, un projet de mine suscite espoir et inquiétude. Le gouvernement roumain envisage de légiférer pour relancer l’exploitation du cuivre, de l’or et d’autres richesses souterraines du pays. Ce projet arrangerait les affaires d’investisseurs canadiens au grand dam des habitants de Certej, un village de l’ouest du pays. LaCroix
Après la Hongrie et la Pologne, l'Europe menace la Roumanie. La Commission européenne vient de mettre en garde la Roumanie de ne pas mettre en œuvre une réforme de la justice adoptée le mois dernier qui serait trop indulgente vis-à-vis des élus ou des dirigeants accusés de corruption. Europe1
>>> AOUT2017. Roumanie, la société civile en état d’alerte. Comme jamais depuis la chute de Ceausescu en 1989, la société civile se mobilise en Roumanie. Plus de six cent mille personnes ont manifesté cet hiver contre un gouvernement qui tentait d’assouplir les lois anti-corruption. De ce sursaut civique, des initiatives ont émergé, comme celle de Rezistenta TV, une chaîne fondée par Mihai et Andi, citoyens devenus activistes, et diffusée sur internet chaque semaine. Arte
>>> AOUT2017. Roumanie, un projet de mine suscite espoir et inquiétude. Le gouvernement roumain envisage de légiférer pour relancer l’exploitation du cuivre, de l’or et d’autres richesses souterraines du pays. Ce projet arrangerait les affaires d’investisseurs canadiens au grand dam des habitants de Certej, un village de l’ouest du pays. LaCroix
>>> AOUT2017.
Visite d'Emmanuel Macron à Bucarest : ce que la France peut
apprendre de la Roumanie.
Monsieur le Président,
vous allez visiter l'un des pays qui a le plus souffert du communisme
mais qui est aujourd'hui en pleine croissance économique. Vous
rencontrerez un président issu de la minorité des Saxons de
Transylvanie, avec un prénom et un nom typiquement allemands, dont
l'élection en 2014 a été largement saluée en Europe comme un bel
exemple de démocratie… Par contre, méfiez-vous du Premier
ministre et du gouvernement issu d'un parti de gauche avec de
nombreux anciens apparatchiks dans ses rangs, certains déjà
condamnés ou poursuivis pour corruption. Un parti qui a gagné les
élections en décembre dernier surtout grâce à un taux
d'abstention frôlant les 60 %... (…) Contrairement à la France,
la Roumanie est un pays qui croit énormément en ses racines
chrétiennes (…) LeFigaro
>>> JUIL2017. La Roumanie interdit de survol l'avion du vice-Premier ministre russe.La Roumanie a interdit vendredi de survol un avion transportant le vice-Premier ministre russe Dmitri Rogozine en raison des sanctions européennes l'empêchant de se rendre dans l'UE, a-t-on appris de source ministérielle. Lorientlejour
>>>
AVR2015. En Roumanie, le secteur de l’énergie profite du conflit
ukrainien et de la lutte anti-corruption. Des
enquêtes récentes ont permis de limiter la corruption au sein du
secteur énergétique roumain et ont accéléré la libéralisation
du marché, alors que la crise ukrainienne a forcé Bucarest à
assumer un rôle plus prédominant dans la région. Euractiv
La Hongrie
Un des quatre pays du V4
Capitale : Budapest
>>> JAN2018. La
Hongrie et la Pologne défendent une hausse du budget européen
Euractiv
>>> DEC2017. La Hongrie
naturalise à tour de bras et compte un million d'habitants en plus.
Le pays reste âprement hostile à l'immigration. Mais, en six ans,
un million de Hongrois des pays voisins ont obtenu la citoyenneté.
Ouestfrance
>>> SEPT2017. La Hongrie, cet État de l’Union européenne qui préfère Poutine. Marginalisé au sein de l’UE et à Bruxelles pour sa fermeté anti-migrants et son «illibéralisme» autoritaire, Viktor Orbán courtise ouvertement le maître du Kremlin, vu comme un modèle. Au risque de précipiter à nouveau Budapest dans les bras de Moscou. Slate
>>> SEPT2017. Clôture anti-migrants: Budapest en appelle à «la solidarité européenne». La Commission européenne va examiner rapidement une demande d'aide de Budapest pour financer la protection de ses frontières tout en soulignant que le Premier ministre Viktor Orban sollicite une « solidarité » du bloc communautaire dont il ne fait pas preuve lui-même. RFI
Peut-être Orban pourrait-il demander à son ami Poutine de payer la facture ? Après tout, le premier a décidé tout seul de son mur sans aucune consultation de ses partenaires européens. Et le second a décidé de s'incruster en Hongrie (comme dans tous les pays de l'UE, c'est vrai. Mais en Hongrie, il est accueilli à bras ouverts). Orban a préféré Poutine à l'UE pour financer sa centrale nucléaire de Paks. Il serait logique qu'il préfère Poutine à l'UE pour financer son mur.
>>> SEPT2017. Cinq preuves que la Hongrie jette l’argent de l’Europe par les fenêtres Slate
>>> FEV2017. Vu de Hongrie. Rencontre Orbán-Poutine sous tension à Budapest CourrierInt
>>> SEPT2017. Clôture anti-migrants: Budapest en appelle à «la solidarité européenne». La Commission européenne va examiner rapidement une demande d'aide de Budapest pour financer la protection de ses frontières tout en soulignant que le Premier ministre Viktor Orban sollicite une « solidarité » du bloc communautaire dont il ne fait pas preuve lui-même. RFI
Peut-être Orban pourrait-il demander à son ami Poutine de payer la facture ? Après tout, le premier a décidé tout seul de son mur sans aucune consultation de ses partenaires européens. Et le second a décidé de s'incruster en Hongrie (comme dans tous les pays de l'UE, c'est vrai. Mais en Hongrie, il est accueilli à bras ouverts). Orban a préféré Poutine à l'UE pour financer sa centrale nucléaire de Paks. Il serait logique qu'il préfère Poutine à l'UE pour financer son mur.
>>> SEPT2017. Cinq preuves que la Hongrie jette l’argent de l’Europe par les fenêtres Slate
>>> FEV2017. Vu de Hongrie. Rencontre Orbán-Poutine sous tension à Budapest CourrierInt
>>>
FEV2017. Poutine
et Orbán affichent leur unité à Budapest OuestFrance
>>>
FEV2017. Viktor
Orban en « situation inconfortable » entre la Russie et l’OTAN.
Le
premier ministre hongrois a accueilli jeudi le président russe,
Vladimir Poutine, qui veut enrayer la baisse des échanges
commerciaux entre les deux pays.
Lemonde
>>> AOUT2017. Vu de Hongrie.
Poutine à Budapest, nouvelle visite controversée. Accueilli
ce lundi à Budapest pour la deuxième fois en six mois, le maître
du Kremlin assiste à l’ouverture des Mondiaux de judo en compagnie
de Viktor Orbán, avec qui il discutera questions énergétiques et
diplomatiques. Les médias hongrois commentent largement cette
visite éclair.
Documentaire anti-Poutine projeté hier
au cœur de Budapest, les noms de rues soviétiques collés sur les
plaques de plusieurs grandes artères de la ville, manifestation
mobile suivant le trajet de la délégation russe, Marche pour
l’Europe prévue ce soir à l’initiative du parti
centriste-libéral Momentum… L’opposition hongroise réserve un
comité d’accueil particulièrement glacial à la ceinture noire
Vladimir Poutine, invité d’honneur des championnats du Monde de
judo débutant ce lundi 28 août sur les bords du Danube.
Apprécié de Viktor Orbán, le dirigeant russe continue d’avancer
ses pions dans l’ex-satellite soviétique, dont le Premier ministre
est accusé de suivre son exemple en stigmatisant les ONG et les
médias critiques.
Ce lundi, les deux leaders, qui
partagent la même passion du sport, devraient également évoquer
les échanges prévus sur la rénovation de la centrale nucléaire
de Paks financée par Moscou et les questions gazières.
CourrierInternational
La Hongrie et le bon sens de Victor Orban sur le problème des migrants
>>> JUIN2017. Hongrie : natalité contre immigration. Hongrie – Le premier ministre conservateur Viktor Orbán est connu pour sa réthorique anti-immigration. Moins pour sa position nataliste. Cela va pourtant de pair. VisegradPost
>>> Le Hongrois Viktor Orban veut créer une ville de migrants en Libye.
Cela rejoindrait-il l'idée des Hotspots de certaines élus européens dont Macron. Sur ce point, il serait possible de s'entendre...
>>> La Hongrie veut sauver l’Europe d’elle-même
Le titre du Monde se veut ironique. Mais d'une part, la Hongrie n'est pas seule : le référendum britannique était un référendum pour ou contre l'immigration ; l'on ferait ce référendum dans tous les pays d'Europe de l'est, on obtiendrait le même résultat : ce n'est pas pour rien que le groupe de Visegrad a repris du poids de la bête . Au delà, si les partis populistes pullulent en Europe de l'ouest avec les succès que l'on sait, c'est uniquement parque le problème de l'immigration n'est pas pris au sérieux par les gouvernants actuels
>>> SEPT2017. La Hongrie demande à l’Union européenne de payer sa clôture anti-migrants OuestFrance
Cela rejoindrait-il l'idée des Hotspots de certaines élus européens dont Macron. Sur ce point, il serait possible de s'entendre...
>>> La Hongrie veut sauver l’Europe d’elle-même
Le titre du Monde se veut ironique. Mais d'une part, la Hongrie n'est pas seule : le référendum britannique était un référendum pour ou contre l'immigration ; l'on ferait ce référendum dans tous les pays d'Europe de l'est, on obtiendrait le même résultat : ce n'est pas pour rien que le groupe de Visegrad a repris du poids de la bête . Au delà, si les partis populistes pullulent en Europe de l'ouest avec les succès que l'on sait, c'est uniquement parque le problème de l'immigration n'est pas pris au sérieux par les gouvernants actuels
>>> SEPT2017. La Hongrie demande à l’Union européenne de payer sa clôture anti-migrants OuestFrance
>>> AOUT2017. Au cœur du Sziget, l’un des plus grands festivals d’Europe LeMonde
La Pologne
Un des quatre pays du V4
Capitale : Varsovie
Capitale : Varsovie
>>> FEV2018. La Pologne, proie de l'"illibéralisme".
Il y a des élections régulières, le peuple est libre de s'exprimer, on ne constate pas de bourrage des urnes, l'armée reste bien cantonnée dans les casernes et ce pays est membre de l'Union européenne... Sauf que, en Pologne, les contre-pouvoirs se font raboter, les gouvernants s'estiment inattaquables, les opposants sont qualifiés de traîtres, les médias se voient ciblés par les autorités, des journalistes se trouvent poursuivis par le pouvoir... et le nationalisme est devenu la doctrine officielle. L'Express
>>> FEV2018. Duel entre la Pologne et Bruxelles pour le sort de la plus vieille forêt européenne L'Obs
>>> FEV2018. La Pologne réécrit l'histoire de la Shoah et poursuit sa dérive autoritaire.
Les lois mémorielles visent à "laver" la Pologne de son image antisémite, mais c'est le contraire qui se produit.
La Pologne a subi, avec le massacre de Katyn au début de la Seconde Guerre mondiale, l’une des plus grandes opérations de manipulation de l’histoire au XXe siècle. Ce qui rend d’autant plus mystérieuse, et inacceptable, la tentative de ses dirigeants actuels, de prescrire par la loi un récit national revu et corrigé.
Le massacre de Katyn, auquel le grand cinéaste polonais Andrzej Wajda, aujourd’hui disparu, a consacré une fresque monumentale en 2007, aurait dû être l’antidote absolu au mensonge historique. L'Obs
>>> JAN2018. En Pologne, la jeunesse tiraillée entre Varsovie et Bruxelles LaCroix
Il y a des élections régulières, le peuple est libre de s'exprimer, on ne constate pas de bourrage des urnes, l'armée reste bien cantonnée dans les casernes et ce pays est membre de l'Union européenne... Sauf que, en Pologne, les contre-pouvoirs se font raboter, les gouvernants s'estiment inattaquables, les opposants sont qualifiés de traîtres, les médias se voient ciblés par les autorités, des journalistes se trouvent poursuivis par le pouvoir... et le nationalisme est devenu la doctrine officielle. L'Express
>>> FEV2018. Duel entre la Pologne et Bruxelles pour le sort de la plus vieille forêt européenne L'Obs
>>> FEV2018. La Pologne réécrit l'histoire de la Shoah et poursuit sa dérive autoritaire.
Les lois mémorielles visent à "laver" la Pologne de son image antisémite, mais c'est le contraire qui se produit.
La Pologne a subi, avec le massacre de Katyn au début de la Seconde Guerre mondiale, l’une des plus grandes opérations de manipulation de l’histoire au XXe siècle. Ce qui rend d’autant plus mystérieuse, et inacceptable, la tentative de ses dirigeants actuels, de prescrire par la loi un récit national revu et corrigé.
Le massacre de Katyn, auquel le grand cinéaste polonais Andrzej Wajda, aujourd’hui disparu, a consacré une fresque monumentale en 2007, aurait dû être l’antidote absolu au mensonge historique. L'Obs
>>> JAN2018. En Pologne, la jeunesse tiraillée entre Varsovie et Bruxelles LaCroix
>>> JAN2018. Piotr Szczesny, cet « homme
ordinaire » qui s’est immolé pour réveiller la Pologne.
En plein cœur de Varsovie, en octobre 2017, un citoyen de 54 ans
s’est transformé en torche humaine pour protester contre
l’évolution conservatrice de son pays.
« Moi, l’homme gris, ordinaire, j’aime la liberté. »
Piotr Szczesny avait 54 ans. Il s’est immolé ici même le
19 octobre 2017, dans un geste politique assumé, laissant au
pays un acte d’accusation en quinze points qui débutait ainsi :
« Je proteste parce que le pouvoir limite les libertés
civiques. Je proteste parce que les gouvernants enfreignent les
principes de la démocratie. Je proteste en particulier contre la
destruction (en pratique) du Tribunal constitutionnel et la
destruction du système de tribunaux indépendants. » LeMonde
>>> DEC2017. L’Europe
déclenche une procédure sans précédent contre le gouvernement
polonais. La Commission européenne a déclenché, mercredi,
l’article 7 du traité de l’UE, encore jamais utilisé,
estimant qu’« il y a un risque clair d’une violation grave
de l’Etat de droit en Pologne ». Lemonde
>>> SEPT2017. La Pologne s'éloigne-t-elle de l'Europe ? Il semble que oui :
- tensions avec la France (problème des travailleurs détachés ; annulation brutale, il y a un an, d'un contrat de vente d'hélicoptères Airbus au bénéfice des Américains, qui a laissé un goût amer et le sentiment que Varsovie ne joue pas «collectif» en Europe ; refus d'une Europe à plusieurs vitesse ; justice...) Lefigaro
- tensions avec l'Allemagne : le Parlement va évaluer les réparations de guerre réclamées à l'Allemagne. (...) Les évêques catholiques polonais ont adressé au début du mois une mise en garde au gouvernement conservateur nationaliste contre le risque d'"annihiler" la confiance et la réconciliation polono-allemandes. RTLbe
- tensions avec le Royaume-Uni : Londres libre d’imposer des visas à la Pologne après le Brexit Euractiv
- utilisation de main-d'oeuvre nord-coréenne (LaCroix)
>>> SEPT2017. L’archevêque de Varsovie défend la séparation des pouvoirs en Pologne LaCroix
>>> SEPT2017. Pologne : sortir de l’anti-Europe. Les Français qui ont vécu la fin de la Guerre froide entretiennent souvent une image romantique de la Pologne : celle de la nation dissidente qui, menée par Lech Walesa et les ouvriers des chantiers navals de Gdansk, ne s’est jamais pliée au communisme et a fait chuter le système soviétique. Aujourd’hui, c’est le gouvernement polonais qui résiste à cette Europe que son peuple a tant voulu retrouver en 1989. OuestFrance
>>>
AOUT2017. « La
Pologne se retrouve au cœur d’une bataille très politique pour
l’âme de l’Europe ».
Dans sa chronique hebdomadaire, Sylvie Kauffmann, éditorialiste au «
Monde », estime que conflit qui oppose Varsovie à Bruxelles, Paris
et maintenant Berlin va bien au-delà du travail détaché et qu’il
touche au cœur du projet européen. (…) « Il
n’est simplement plus possible de nous taire, de ne rien dire juste
pour avoir la paix. L’Etat
de droit en Pologne, c’est un sujet grave. Les principes de l’Etat
de droit sont le fondement de la coopération au sein de l’Union
européenne. Et ce que dit la Commission européenne à ce sujet, je
le prends très au sérieux. » (Angela Merkel)
Lemonde- tensions avec la France (problème des travailleurs détachés ; annulation brutale, il y a un an, d'un contrat de vente d'hélicoptères Airbus au bénéfice des Américains, qui a laissé un goût amer et le sentiment que Varsovie ne joue pas «collectif» en Europe ; refus d'une Europe à plusieurs vitesse ; justice...) Lefigaro
- tensions avec l'Allemagne : le Parlement va évaluer les réparations de guerre réclamées à l'Allemagne. (...) Les évêques catholiques polonais ont adressé au début du mois une mise en garde au gouvernement conservateur nationaliste contre le risque d'"annihiler" la confiance et la réconciliation polono-allemandes. RTLbe
- tensions avec le Royaume-Uni : Londres libre d’imposer des visas à la Pologne après le Brexit Euractiv
- utilisation de main-d'oeuvre nord-coréenne (LaCroix)
>>> SEPT2017. L’archevêque de Varsovie défend la séparation des pouvoirs en Pologne LaCroix
>>> SEPT2017. Pologne : sortir de l’anti-Europe. Les Français qui ont vécu la fin de la Guerre froide entretiennent souvent une image romantique de la Pologne : celle de la nation dissidente qui, menée par Lech Walesa et les ouvriers des chantiers navals de Gdansk, ne s’est jamais pliée au communisme et a fait chuter le système soviétique. Aujourd’hui, c’est le gouvernement polonais qui résiste à cette Europe que son peuple a tant voulu retrouver en 1989. OuestFrance
>>> AOUT2017. Le PiS, au pouvoir depuis 2015, reste populaire avec 35 % d’opinions favorables… C’est un problème très sérieux, c’est un défi pour nous les démocrates. C’est une leçon pour l’opposition, qui doit comprendre que le rêve de la société ce n’est pas seulement la liberté, mais aussi la sécurité. Le PiS n’a pas les moyens de sa politique sociale, mais les nouvelles allocations familiales versées par le gouvernement ont plus de poids, pour certains Polonais, que les analyses sur la situation budgétaire (entretien avec un opposant au PIS , (Ouestfrance)
>>> JUIL2017. EXCLUSIF. Lech Walesa : « Pourquoi je reprends le combat en Pologne » Ouestfrance
>>> AOUT2017. L’indépendance de la justice mise en cause Taurillon
>>> JUIL2017. Le recul du pouvoir polonais montre la force des sociétés civiles L'Obs
>>> JUIL2017. Le président polonais surprend (positivement) l'UE L'Echo
>>> JUIL2017 L’Union européenne se dit prête à lancer la plus lourde procédure de sanction contre la Pologne. Bruxelles a durci le ton envers Varsovie et sa réforme de la Cour suprême, qui pourrait aboutir à la révocation des juges. La procédure pourrait déboucher sur une suspension de ses droits de vote. LeMonde
>>> JUIL2017. VIDEO. La crise politique en Pologne expliquée en quatre minutes LeMonde
>>> JUIL2017. La Pologne se transforme en pays autoritaire et anti-démocratique L'Obs
>>> JUIL2017. Manifestations, menaces de sanctions européennes... Pourquoi la situation en Pologne est inquiétante FranceTVinfo
>>> JUL2017 L’Espagne s’allie à la Pologne contre la directive sur les travailleurs détachés Euractiv
>>> La Pologne participera aux opérations contre l' Etat islamique Infonews
>>> La Pologne défend ses projets controversés devant le Parlement européen LeMonde
>>> 50000 manifestants à Varsovie pour défendre la démocratie LeMonde
>>> 80000 personnes manifestent contre le gouvernement LeMonde
De mauvais signaux
- un pays que l'on croyait très europhile. ayant le plus bénéficié de l'UE, notamment de ses aides.
- un des pays qui était en pointe contre Poutine , et qui a été suivi (mollement, certes, mais tout de même...) par l'UE
- Problème : il semble que ce pays ne soit nullement européen mais plutôt nationaliste et dans une spirale destructrice quant aux institutions démocratiques et à l' Etat de droit
>>> AOUT2017. Le
PiS réclame des indemnités de guerre à l’Allemagne
Courrierinternational
>>> JUIL2017. En Pologne, le gouvernement ultraconservateur harcèle les journalistes Tomasz Piatek est poursuivi devant un tribunal militaire pour une enquête critique sur le ministre de la défense. LeMonde>>> Le drapeau européen prié d'aller voir ailleurs LesEchos
>>> Le gouvernement polonais se met à l'école de la révolution Orban en Hongrie LaCroix
>>> L'UE inquiète de la victoire du PIS LeMonde
>>> La Pologne, fille ingrate de l'Europe Libération
>>> Pologne : les eurosceptiques triomphent, l'Europe tousse L'Obs
>>> En Pologne, le risque d'une dérive autoritaire Libération
>>> Andrzej Adamczyk, coup de froid sur la Pologne Sauvonsleurope
>>> Etat de droit, que se passe-t-il en Pologne ? FranceCulture
Pologne et Ukraine
>>> Le soutien continu de la Pologne aux aspirations de l’Ukraine à constituer un État indépendant et arrimé à l’ouest du continent européen ne s’explique pas seulement par la proximité géographique et la volonté de tenir la Russie à distance. L’émotion et la mobilisation des citoyens polonais rappellent en effet que des liens historiques forts les attachent à leur grand voisin, comme le montre le destin croisé des villes de Lviv et de Wrocław. Courrierpologne
>>>
MAI2015. Ukraine-Pologne: passé douloureux, présent solidaire
LaCroix
Pologne et Russie
>>> JUIL2017. Pologne : les accointances russes d’un ministre-clé. Très antirusse, Antoni Macierewicz, chargé de la défense, est pourtant en lien avec des proches de Moscou LeMonde
>>> AVR2016. Pour la Pologne, la Russie est plus menaçante que l'Etat islamique Opex360
Armée
>>> JUIL2017. L’armée polonaise affaiblie par les purges du PiS. Lemonde
>>> MARS2017. La Pologne annule sa participation à l’Eurocorps. La décision de Varsovie d’une « réduction d’engagement » au corps européen de défense est jugée avec sévérité à Bruxelles. Lemonde
>>> MARS2017. La Pologne claque la porte de l’Eurocorps, par rancoeur politicienne. Une erreur stratégique (V2) Bruxelles2
>>> Polish armed forces 2015. Youtube
>>>
La Pologne modernise son armée
Varsovie
va acheter des missiles américains et des hélicoptères européens.
Les
dirigeants polonais choix entendent concilier fidélité
transatlantique et engagement européen.
La
Pologne renforce sa défense face à la menace russe. Le président
Bronislaw Komorowski a annoncé lui-même, mardi 21 avril, le
double choix polonais : l’achat de missiles sol-air américains
et d’hélicoptères européens, une illustration de la volonté
polonaise de ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier en
conciliant fidélité à l’Alliance atlantique et soutien à
l’Europe de la défense.
>>>
Des chars Leclerc et des VBI en Pologne OpEx360
>>>
L'alliance franco-polonaise sauvera-t-elle la défense européenne ?
La
mise en place d'un moteur franco-polonais apparaît désormais comme
l'une des clefs de voute pour sauver le projet de défense
européenne. Nathan Dufour, Institut polonais des relations
internationales (PISM)
«
Il n'y aura pas de « grand soir » » a redit récemment le
représentant permanent de la France auprès du Comité politique et
de sécurité (COPS), organe décisionnel de gestion de crises
central au sein du labyrinthe institutionnel bruxellois. Et à la
lecture des conclusions officielles du Sommet de fin juin, force est
de constater que la Politique de sécurité et de défense commune
(PSDC), comme tout processus européen, continue à procéder sur un
temps long, trop long pour faire face à l'urgence de la situation
sécuritaire dans laquelle se trouve les européens.
Des
signaux positifs
Toutefois,
un certain nombre de signaux positifs nous proviennent de la France
et de la Pologne. Il convient de les saluer et de les encourager pour
contrevenir au pessimisme ambiant, voire morbide, annonçant sans
ambages la fin du rêve d'une autonomie stratégique européenne.
Compte-tenu des différences géostratégiques majeures séparant les
deux pays, et de l'écho que celles-ci trouvent à l'échelle
européenne, la mise en place d'un moteur franco-polonais apparait
désormais comme l'une des clefs de voûte pour sauver le projet de
défense européenne.
Sortir du « dialogue de sourd »
Sortir du « dialogue de sourd »
Les
deux pays sont sur une pente ascendante, mobilisant le capital
politique accumulé dans les relations bilatérales, notamment depuis
2012. Une année où l'arrivée de François Hollande et de la
majorité socialiste a permis aux deux gouvernements d'accorder leurs
ambitions pour impulser un rapprochement sur les questions de
sécurité et de défense. Sur fond d'adaptation de l'effort
militaire aux nouvelles réalités budgétaires et sécuritaires en
France et de montée en puissance politique et économique pour la
Pologne, les compréhensions stratégiques se sont clairement
rapprochées.
Par
nécessité et pragmatisme surtout, beaucoup d'énergie a été
investie de part et d'autre pour sortir du « dialogue de sourds »
initial opposant leurs priorités politico-historiques respectives,
notamment celles liées aux voisinages «Est » et « Sud ». Ainsi,
les dialogues stratégiques et contacts entres hauts fonctionnaires,
politiciens et think-tanks se sont multipliés, tout comme la
coopération et les échanges militaires entre les trois corps
d'armées (terrestre, aérien, naval) et les forces spéciales.
Une
lecture similaire
Dans
un contexte sécuritaire aggravé depuis le Sommet de décembre 2013,
la Pologne et la France partagent désormais un lecture très
similaire des risques liés à un désinvestissement massif dans le
secteur de la défense ainsi que des conséquences pour les européens
du pivot américain vers l'Asie et le Moyen-Orient. Face au manque de
résultats tangibles au sein de l'UE et de l'OTAN, ils ont dès lors
fait montre d'un pragmatisme accru visant a réactiver les machines
institutionnelles et la volonté de leurs alliés.
Un
équilibre délicat pour la Pologne
Ces
évolutions notables dans les relations bilatérales ont ainsi mené
à une décision polonaise majeure en avril dernier ; celle de
privilégier l'offre d'Airbus de 50 hélicoptères multi-rôles
Caracal H225M face aux concurrents américains et italo-britanniques
pour un montant approximatif de 3,2 milliards d'euros. Loin d'être
anodine, cette décision est éminemment politique et vise non
seulement à offrir des débouchés européens au processus récent
de consolidation de son industrie de la défense, mais aussi à «
booster » les perspectives de coopération militaire et
d'interopérabilité de ses forces armées avec celles du leader
actuel de la sécurité et défense en Europe.
Sur
fond de grave crise avec la Russie, cette décision est le fruit
d'une politique de défense multi-vectorielle visant à renforcer
l'ancrage européen de la Pologne, tout en ne perdant pas de vue son
attachement renouvelé à s'assurer de garanties sécuritaires des
Etats-Unis d'Amérique. Ce fut d'ailleurs chose faite, à quelques
jours d'intervalle, en sélectionnant l'offre américaine de Raytheon
pour les premiers éléments de son bouclier anti-missile, le plus
gros contrat de son plan de modernisation technique des forces armées
(TPM).
Vers
un ménage à trois ?
En
parallèle, les deux pays se sont beaucoup activés dans les
coulisses des préparations du Conseil européen de juin pour
redonner vie à une certaine vision politique et stratégique
européenne intégrant la PSDC en son cœur. La France y était
pourtant récalcitrante, souhaitant maintenir vaille que vaille son
approche dé-passionnée de la PSDC, dite des « petits pas », telle
qu'elle fut actée lors du Sommet de decembre 2013. Constatant
l'absence de résultats significatifs de cette politique avant le
Sommet de juin, celle-ci s'est toutefois laissée convaincre
(notamment par la Pologne et l'Allemagne) du bien fondée de
compléter cette approche pragmatique par une nécessaire révision
de la Stratégie européenne de sécurité datant de 2003.
Des
actions communes mieux adaptées aux situations de crise
Malgré
toutes les incertitudes entourant ce processus et son impact pratique
sur la prise de décision européenne, le renouveau d'une vision
politique semble en effet bien faire partie de l'équation pour
espérer désembourber la PSDC en menant à des actions communes
mieux adaptées aux situations de crises.
Surfant sur le rapprochement franco-polonais (longtemps considéré comme le point faible des relations tri-latérales), une lettre conjointe fut transmise par les Ministres des Affaires étrangères du triangle de Weimar à la Haute représentante/vice-Présidente de la Commission européenne, Federica Mogherini, début avril avec des propositions concrètes pour faire avancer la PSDC.
Surfant sur le rapprochement franco-polonais (longtemps considéré comme le point faible des relations tri-latérales), une lettre conjointe fut transmise par les Ministres des Affaires étrangères du triangle de Weimar à la Haute représentante/vice-Présidente de la Commission européenne, Federica Mogherini, début avril avec des propositions concrètes pour faire avancer la PSDC.
En
plus de la nécessité d'une révision stratégique, deux d'entre
elles furent actées. La proposition de mener des projets concrets et
ciblés de renforcement des capacités des acteurs locaux à prévenir
et à gérer les crises les concernant (« capacity building »). Et
celle d'avancer vers la création d'un instrument financier européen
pérenne pour la recherche en matière de défense. Malheureusement,
la volonté exprimée de donner la priorité par défaut aux
groupements tactiques (GTUE) pour entrer en premier sur les théâtres
de crises demeura, elle, lettre morte.
Le risque du désenchantement
Le risque du désenchantement
Le
contexte de la gestion de la crise grecque et du drame migratoire en
méditerranée a clairement ramené la discussion des chefs d'État
et de gouvernement de juin sur la défense au « minimum syndical ».
Mais il importe de garder à l'esprit que même ce minimum n'aurait
probablement pas été acté sans l'impulsion franco-polonaise.
Les récentes évolutions dans les relations bilatérales pourraient augurer d'un regain d'intérêt pour une vision plus politique de la PSDC, devant nécessairement encadrer et stimuler l'approche pragmatique des « petits pas » concrets.
Les récentes évolutions dans les relations bilatérales pourraient augurer d'un regain d'intérêt pour une vision plus politique de la PSDC, devant nécessairement encadrer et stimuler l'approche pragmatique des « petits pas » concrets.
Mais
ce processus reste incertain et l'aléa politique pourrait
rapidement menacer le capital politique durement engrangé. L'exemple
récent de la Pologne, avec l'élection d'Andrzej Duda, du parti «
Droit et Justice » (PIS), comme nouveau Président inquiète les
autorités françaises, en leur rappelant les mauvaises heures des
relations bilatérales. La France de son côté semble sujette a une
forme de repli sur soi à l'échéance 2017 qui inquiète tout autant
les autorités polonaises.
Si
changements politiques il y a, il reste donc à espérer que les
interdépendances croissantes de fait quant aux impératifs
sécuritaires respectifs aideront à maintenir ce rapprochement
diplomatique, politique et industriel remarquable dans la durée. Les
européens en ont bien besoin.
>>>
La Pologne à l’avant-garde de la politique de défense européenne
Guerre
en Ukraine, extension de l’État islamique... la multiplication des
menaces aux frontières de l’UE l’oblige de nouveau à se
préoccuper sérieusement de sa sécurité, après un quart de siècle
de relative insouciance. Par ses initiatives politiques, son
engagement dans les missions internationales et son important budget
militaire, la Pologne constitue l’un des maillons forts de la
défense européenne. Courrier
de la Pologne
Energie
>>> JUIN2016. La Pologne réduit sa dépendance au gaz russe. L'entrée en service du terminal d'importation de Swinoujscie va permettre à la Pologne de diversifier ses approvisionnements de gaz naturel liquéfié et de sortir de sa dépendance à Gazprom. Lefigaro
Bicyclette
>>> SEPT2017. En Pologne, des
routes lumineuses pour rouler à vélo. De plus en plus de personnes
se déplacent à vélo. Mais, la nuit, c’est parfois difficile de
voir la route. Une ville de Pologne a eu une idée géniale : elle
a recouvert les pistes cyclables d’une matière synthétique qui
brille la nuit. OuestFrance
Histoire. Quand la Pologne redevenait européenne, après l'épisode soviétique
>>>
OCT2017. Le "retour à
l'Europe" des pays de l'Est. Dans son dernier ouvrage,
l'historien américain Timothy Snyder relate notamment comment, après
1990, la Pologne s'est progressivement tournée vers ses voisins
occidentaux. L'Express
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