ZOOM sur : Général Lecointre
Général Lecointre : « Il faut être prêt à s’engager pour un conflit de survie »
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Une Armée européenne
Général Lecointre : « Il faut être prêt à s’engager pour un conflit de survie »
Lors de la dernière édition de la Conférence des ambassadeurs, en août 2018, le ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, ne put que confirmer et compléter les propos qu’il avait déjà tenus quand il était à l’Hôtel de Brienne pour décrire les dernières évolutions du contexte international.
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« Nous vivons dans une période de tension et de conflictualité » avec une « rupture » sur le plan de la sécurité, « se manifestant par la multiplication des crises aux portes de l’Europe » et une autre dans celui de l’économie, « liée aux déséquilibres commerciaux que risquent d’aggraver les tentations de guerre économique », avait en effet affirmé le chef de la diplomatie française.
Lors de sa dernière à l’Assemblée nationale, le chef d’état-major des armées [CEMA], le général François Lecointre, est entré dans le détail des menaces actuelles. Ainsi, après avoir de nouveau critiqué les « dividendes de la paix » qui, après 1991, « allaient provoquer pertes de capacités et diminution de la réactivité des armées », il a évoqué un contexte marqué par le terrorisme qui « se développe en même temps que l’expansion incessante de menaces hybrides », « l’apparition de nouveaux champs de conflictualité » et une « désinhibition tout à fait frappante de l’usage de la violence et de la force. »
Aussi, pour le CEMA, nous entrons dans une ère qui « combine, d’une certaine façon, les caractéristiques de périodes précédentes, sur fond de risque climatique, d’épuisement des ressources et d’inégalités de développement. » Et, a-t-il ajouté, elle faut « surtout réapparaître la crainte de menaces existentielles, à même de saper les fondements de notre Nation. »
Et « cette période nous expose à trois grandes formes de conflictualité, qui se conjuguent », a relevé le général Lecointre. Ainsi, a-t-il dit, « un affrontement majeur apparaît aujourd’hui comme une potentialité réelle ». Selon lui, « l’armement de la Chine, l’affirmation de puissances régionales avec des prétentions nucléaires, le jeu de la Russie, la concurrence à la puissance américaine ou les déséquilibres autour du golfe Arabo-Persique sont de nature à provoquer un point de rupture. »
Et cela conduit le CEMA à estimer qu’il « faut être prêt à s’engager pour un ‘conflit de survie’, seul ou en coalition, rapidement et dans la durée. » Et cela demandera des « moyens de haute technologie car ce conflit se déroulera dans les champs habituels, mais aussi dans ceux qui échappaient jusqu’ici à la conflictualité militaire. »
Et, a poursuivi le général Lecointre, « le déni d’accès de certains espaces et les stratégies indirectes, avec un rapport coût efficacité aujourd’hui à la portée de petits compétiteurs, pourraient préfigurer ce type de conflit. »
En outre, les affrontements de nature « asymétrique » n’ont pas disparu. Loin de là même. « Le terrorisme persiste. Il mute. Il intègre opportunément toutes les revendications ethniques, religieuses, idéologiques ou identitaires » tandis que les groupes terroristes « s’approprient les nouvelles technologies et savent investir tous les champs, exigeant de notre part une palette complète de réponses militaires », a expliqué le CEMA.
Enfin, ce dernier n’exclut pas qu’une ou plusieurs « crises profondes » puissent « déstabiliser sérieusement les grands équilibres mondiaux. » Ces crises pourraient être de « nature démographique, climatique ou d’accès à l’eau » et elles « ne manqueront pas d’affecter l’Afrique », ce qui aura « de lourdes conséquences pour la stabilité de l’Europe tout entière », a prévenu le général Lecointre.
« Je pense que nous devons absolument nous y préparer et l’intégrer dans notre modèle d’armée, d’autant que cette typologie de la menace n’exclut pas la simultanéité des occurrences et que chaque type d’affrontement se conjuguera dans le temps et l’espace. Nous devons être capables d’anticiper et de voir venir ces menaces ou ces conjugaisons de menaces, mais aussi de créer les coalitions qui nous permettront d’y faire face », a-t-il ensuite fait valoir auprès des députés.
Après des années de contraintes budgétaires qui ont entamé le potentiel et les capacités des forces françaises, l’exécution à l’euro près de la Loi de programmation militaire [LPM] 2019-25, qui met l’accent sur la « remontée en puissance », est essentielle.
En l’état actuel des choses, et « au rythme actuel des commandes et livraisons » des munitions, les forces françaises ne seront « toujours pas pas capables de soutenir un engagement majeur en 2022 », a souligné le général Lecointre. « Pour la défense sol-air, surface-air, l’engagement air-air, ainsi que pour la lutte antinavire, nos stocks ne nous permettent déjà pas de faire face à la situation opérationnelle de référence », a-t-il précisé.
Qui plus est, « nous avons encore des trous capacitaires, notamment dans les domaines de la projection stratégique, du renseignement par drone, du ravitaillement à la mer et de l’aéromobilité, ce qui nous rend dépendants de nos alliés américains, otaniens et européens, ainsi que des contrats d’affrètement », a encore cité le CEMA.
Enfin, a-t-il aussi fait remarquer, la « disponibilité technique opérationnelle de certaines de nos flottes d’aéronefs demeure à un niveau faible, de l’ordre de 50 % à 60 % pour les flottes d’hélicoptères de l’armée de Terre, de patrouilleurs maritimes de la Marine et d’avions de transport tactique de l’armée de l’Air. »
D’où l’importance cruciale, dans ces conditions, de la bonne exécution de la LPM, qui « prend en compte » cette nécessité de réparer nos capacités, en particulier les difficultés et les carences structurelles dont nous souffrons », a plaidé le général Lecointre.
LAURENT LAGNEAU · 26 JUILLET 2019 Opex360
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Une Armée européenne
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>>> NOV2017. L'Europe de la défense veut s'émanciper des États-Unis Lefigaro
>>> NOV2017. « Un moment historique pour la défense européenne » selon Mogherini.
23 pays membres l’Union européenne
ont signé lundi un pacte pour relancer l'Europe de la Défense. Un
geste fort après le Brexit du Royaume-Uni, une des principales
forces militaires du continent. Ils ont pris 20 « engagements »
jetant les bases de leur « coopération structurée permanente »
(CSP). OuestFrance
>>> NOV2017. Europe de la défense : la très belle trahison de la Suède qui s'offre le Patriot. Stockholm hésitait entre l'Europe et les Etats-Unis pour l'achat de son système de défense antiaérienne. La Suède a choisi le Patriot plutôt que le SAMP/T proposé par l'Italie et la France. LaTribune
>>>OCT2017. La Finlande veut d’urgence une défense européenne commune. Sauli Niinistö, le président finlandais, n’est pas opposé à une politique étrangère commune, qui ferait de l’UE un véritable interlocuteur sur la scène internationale. Il expose sa vision de la sécurité à la frontière Est de l’UE Euractiv
>>> SEPT2017. Une avancée
«historique» sur la défense européenne. La mise en place d’une
coopération permanente en matière de défense représente un pas en
avant inédit. Euractiv
>>> JUIL2017. Une Europe de la défense devient enfin possibleTransport militaire FondationRobertSchuman>>> MARS2017. l’incroyable dépendance russe de la France Challenges
>>>FEV2017. La coopération en matière de défense dans l’UE dépend actuellement plus de la volonté politique que de considérations juridiques Europarl
>>> FEV2017. Pour une vraie défense européenne Euractiv
>>> JAN2017. L’Allemande Ursula von der Leyen plaide pour une « Union européenne de la défense » face au risque de déstabilisation venu de Russie. Le Monde
>>> DEC2016 Défense, frontières : l'Europe décidée à mieux se protéger
Des propositions franco-allemandes pour
renforcer la capacité de défense de l'UE sont au menu du sommet
européen. Des pactes migratoires vont être conclus avec plusieurs
pays africains. Les
Echos
>>> DEC2016. Union européenne de la défense : le retour de la puissance forte Euractiv>>> DEC2016. Bruxelles lance une révolution dans la défense européenne Euractiv
>>> « Europe de la
défense : encore un dernier effort Monsieur le président ! ».
La fin du quinquennat de François Hollande, libéré des contraintes
électorales, lui offre une occasion inespérée de relancer le vieux
projet d’une Europe de la défense. L’Union européenne se
doterait ainsi d’une autonomie accrue vis-à-vis de l’OTAN,
explique l’universitaire Stéphane Rodrigues. Le
Monde
>>> NOV2016. Vers une plus grande coopération en matière de défense. Le 22 novembre, les députés européens ont voté une résolution suggérant aux Etats membres de consacrer 2% du PIB à la défense et d'établir des forces multinationales. Ils recommandent de mettre en place un quartier général européen pour planifier et commander des opérations de gestion de crise et permettre à l'Union européenne d'agir là où l'OTAN ne veut pas le faire. Parlement européen
>>>
NOV2016. L’Europe se prépare à renforcer son autonomie militaire
>>>
NOC2016. L’élection américaine relance l’idée d’une « Union
de la défense ». Les incertitudes sur l’avenir de l’OTAN
poussent les Européens à coopérer en dépit de leurs divisions sur
l’opportunité d’une « armée européenne ».
>>> NOV2016. Défense européenne, le serpent de mer sort de l’eau.
La défense de l’Europe
implique-t-elle une Europe de la défense ? Les ministres européens
débattent depuis le 14 novembre de la stratégie globale de l’Union,
après le double choc du Brexit, en juin, et de l’élection de
Donald Trump, la semaine passée.
>>> NOV2016. Après la victoire de Trump,
les Etats-Unis de Trump vont-ils sortir de l'OTAN, comme il l'a
évoqué ? Eh bien, cela pourrait être une opportunité à
saisir, car cela pourrait contraindre les pays d l'UE à faire cette
armée européenne.
>>>
« Enfin, bien sûr, l’Union européenne devra démontrer
qu’elle est capable de se défendre militairement : avec Trump,
«le couplage entre la défense américaine et européenne
est terminé», constate Alain Lamassoure. Et il ne
faudra plus compter sur une aide militaire gratuite et
inconditionnelle. «C’est une menace mais cela peut
aussi être une chance, car Trump va nous obliger à bouger»,
espère Paul Magnette. »
>>>
Face au défi Trump, « Europe First »
Editorial. La politique extérieure
des Etats-Unis sera désormais guidée par la défense des intérêts
américains, et rien d’autre. Pour les Européens, la seule réponse
possible est l’unité. (… ) l’Europe doit relancer très
sérieusement la réflexion sur sa sécurité et sa défense. Sur ce
point, Donald Trump a été clair : il considère que son pays
ne doit plus payer pour la
défense de ses alliés. Le réalisme l’amènera peut-être à
nuancer certaines de ses positions, mais c’est sa philosophie
fondamentale. On aurait tort de la prendre
à la légère.
>>>
Présidentielle américaine : le monde selon Donald Trump
>>>
Enrico Letta : « Le vote américain doit être l’occasion
d’un redressement de l’Europe »
ENTRETIEN. Pour l’ex-chef de
gouvernement italien, doyen de l’école des affaires
internationales de Sciences-Po et président de l’Institut
Jacques-Delors, l’élection de Donald Trump comme le Brexit
obligent l’Union européenne à lancer un vaste programme de
reconversion des zones industrielles en crise, et à prouver
que l’immigration est sous contrôle. L’isolationnisme
attendu du nouveau président américain incite à accélérer
l’Europe de la défense et à affirmer nos valeurs
dans le monde
>>> Sept2016. La France pousse la mise en place d’un QG militaire européen
La création d’un vrai « quartier général permanent » de l’UE, évoqué par Juncker lors de son discours sur l’état de l’UE, est aussi un souhait franco-allemand. Dans une contribution commune, les ministres de la défense des deux pays ont en effet mentionné la nécessaire mise en œuvre de ce QG européen conjoint et permanent qui surveille les déploiements européens à l’étranger, coordonne les observations par satellite et mutualise les capacités logistiques ou la médecine militaire.
Selon l’approche franco-allemande, cette coopération étroite se ferait surtout au sein d’un cercle restreint : pour éviter d’avoir à convaincre 28 États membres, la coopération militaire s’établirait dans le cadre d’un petit cercle. (...)
Il s'agit aussi pour l'Europe d'être capable de se défendre par elle-même face à un éventuel éloignement américain (la moindre implication des États unis au Moyen-Orient a notamment ouvert les yeux des dirigeants européens sur le nouvel équilibre mondial).
>>> SEPT2016. Les idées de la
France et de l’Allemagne pour faire avancer la défense européenne
LaCroix
>>> Mogherini préparerait dans le grand secret une armée européenne. Du calme !
>>> août 2016. L’idée d’une armée européenne fait son chemin en Europe centrale.
>>> oct2016. «L'armée française ne pourra pas être éternellement l'armée européenne» (Valls)
>>> NOV2016. La coopération militaire entre la France et le Royaume-Uni à l’épreuve du Brexit
>>> Un drone franco-britanique
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À Amiens, lors du sommet franco-britannique, Paris et Londres ont confirmé, ce jeudi, leur volonté de poursuivre sur le long terme, leur coopération en matière d'aviation de combat du futur. Les deux alliés ont décidé d'investir plus de 2 milliards d'euros dans un programme commun de démonstration de drones de combat, qui pourraient servir de base à «une future capacité opérationnelle à l'horizon 2030». Un bilan technique devra être réalisé en 2020, est-il précisé dans le document co-signé par François Hollande et David Cameron.
Il s'agit d'une nouvelle étape importante pour le futur programme qui s'inscrit dans le cadre d'un processus débuté en 2010, avec la signature des traités militaires de Lancaster House. En janvier 2014, la France et la Grande-Bretagne avaient déclaré vouloir unir leurs forces pour préparer la future génération de systèmes aériens de combat. En novembre, Paris et Londres avaient confié à leurs industriels - Dassault Aviation(*) pour la France et BAE Systems pour la Grande-Bretagne - une étude de faisabilité cofinancée à hauteur de 150 millions d'euros.
Définir une doctrine d'emploi
L'étude doit durer deux ans. La France et la Grande-Bretagne veulent enclencher «la prochaine phase en 2017 afin de préparer le développement de démonstrateurs opérationnels de drones de combat à taille réelle d'ici à 2025». L'étape ultime étant de passer à l'industrialisation et à la livraison aux armées des appareils cinq ans après.Ce drone polyvalent devra être capable de réaliser des missions d'observation et de surveillance, d'identifier des cibles et d'effectuer des frappes. Il pourra agir seul ou en formation avec des avions de combat pilotés par des hommes. Ce sera aux armées françaises et britanniques de préciser leurs besoins et de définir une doctrine d'emploi.
Expérience acquise avec nEUROn et Taranis
Le drone franco-britannique prend donc forme. «Il est important de préparer le futur dans le domaine stratégique des drones de combat», s'est félicité Éric Trappier, PDG de Dassault Aviation. Il s'agit en effet d'une bonne nouvelle pour les industriels impliqués. Du côté français, le constructeur du Rafale, Dassault Aviation, ainsi que le motoriste Safran et l'électronicien de défense Thales. Du côté britannique, le motoriste Rolls-Royce et l'électronicien Selex font équipe avec le groupe de défense BAE, un des partenaires du chasseur européen Eurofighter (aux côtés d'Airbus Group et de Finmeccanica).Dassault Aviation et BAE s'appuieront sur l'experience acquise en matière de drones de combat. Le français a en effet développé, avec cinq partenaires européens, et fait voler un démonstrateur technologique, le nEUROn. Le britannique a quant à lui mis au point le Taranis.
(*) Le groupe Dassault est propriétaire du Figaro
>>> More than a third of British public supports creation of a European Union standing army, poll finds TheIndependant
>>> L'exemple d'une force franco-britanique Griffin Strike 2016, le plus grand test de déploiement des forces armées françaises et britanniques.
Depuis 6 ans, la France et le Royaume-Uni travaillent à la mise en place d'une force expéditionnaire commune interarmées, la CJEF (Combined Joint Expeditionary Force), décidée dans le cadre des accords de Lancaster House signés en 2010. Ce test de déploiement, le plus important réalisé à ce jour, implique 5 000 soldats français et britanniques. Il a été lancé le 10 avril et se déroulera jusqu'au 23 avril au Royaume-Uni. L'opération, baptisée Griffin Strike 2016, vise à renforcer la cohésion entre les deux pays pour qu'ils puissent intervenir ensemble plus rapidement avec un impact plus important à l'avenir.
>>>
Europe : deux puissances militaires, moins une...
L’Union européenne ne comptait dans ses rangs que deux vraies puissances militaires. C’était peu, mais après le Brexit, il n’y en aura plus qu’une seule - la France dont l’armée va défiler demain. C’est dire si le référendum britannique porte un coup sans doute fatal au projet déjà bien moribond d’une Europe de la défense. François Hollande en a d’ailleurs pris son parti : une défense européenne « séparée de l’Otan » n’aurait « aucun sens », a-t-il expliqué le week-end dernier lors du sommet de l’Alliance atlantique.
L’Union européenne ne comptait dans ses rangs que deux vraies puissances militaires. C’était peu, mais après le Brexit, il n’y en aura plus qu’une seule - la France dont l’armée va défiler demain. C’est dire si le référendum britannique porte un coup sans doute fatal au projet déjà bien moribond d’une Europe de la défense. François Hollande en a d’ailleurs pris son parti : une défense européenne « séparée de l’Otan » n’aurait « aucun sens », a-t-il expliqué le week-end dernier lors du sommet de l’Alliance atlantique.
>>> Juillet 2016. Une tournée pour relancer l’Europe de la défense. Le vote britannique en faveur du Brexit a également donné davantage de latitude à une possible relance, Londres faisant figure depuis des années de principal opposant à ce projet. L’Allemagne, qui avait toujours conservé un rôle neutre face au projet d’une Europe de la défense a commencé à se pencher sur la question, notamment avec la publication d’un livre blanc en la matière.
>>>
« Les Européens doivent affirmer une volonté de défenses
communes »
>>>
Europe de la défense : ne comptons pas trop sur l'Allemagne.
L'Allemagne a annoncé dans un Livre
blanc vouloir oeuvrer de manière active à la sécurité du
continent. Malgré cet avancée, elle sera loin de pouvoir fournir à
la France un allié de rechange au Royaume-Uni pour « l'Europe de la
défense ».
2015
>>> Europe de la défense : pour une révolution des esprits Trop-Libre
>>> Le 8 octobre 2015, l’Institut Jacques Delors a été partenaire de la sixième édition des Ateliers de la Citadelle. Thème : « Plus de crises, plus d’Europe de la défense ? » (les nouvelles menaces qui pèsent sur l’Europe, la façon dont la coopération européenne en matière de sécurité peut répondre à ces menaces).
2016 (après le Brexit)
>>> Défense : déclaration franco-finlandaise et coopération franco-allemande
Le 15 juin, le Président français
François Hollande et le Premier ministre finlandais Juha Sipilä ont
fait une déclaration commune sur le renforcement de la politique de
sécurité et de défense de l'UE. Le même jour, le ministre
allemand de l'Intérieur, Thomas de Maiziere, invité au Conseil des
Ministres, est intervenu sur la coopération franco-allemande en
matière de sécurité
>>>
Un Brexit pourrait favoriser une défense européenne intégrée
(interview du général Jean-Paul Perruche)
>>> Après le Brexit, Paris et Berlin veulent relancer l'Europe de la défense>>> France. Paris demande l’assistance militaire des pays de l’UE : plus qu’un symbole
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European Union military power
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