Une armée de Terre adaptée aux nouveaux conflits
>>> JUIN2020 Les 12 projets du général Burkhard pour préparer l’armée de Terre à un conflit de haute intensité
(...) Un autre élément souligné par la Vision stratégique du CEMAT est le « retour marqué de la force militaire comme mode de règlement des conflits, selon des formes connues, directes et assumées », mais aussi selon des « modes d’action nouveaux, imprévisibles et plus insidieux, privilégiant l’intimidation et la manipulation, dans une forme de guerre nouvelle, indiscernable et non revendiquée, pour obtenir par le fait accompli des gains stratégiques indéniables. » Opex360
Placement / investissement
>>> JUIN2020 Les 12 projets du général Burkhard pour préparer l’armée de Terre à un conflit de haute intensité
(...) Un autre élément souligné par la Vision stratégique du CEMAT est le « retour marqué de la force militaire comme mode de règlement des conflits, selon des formes connues, directes et assumées », mais aussi selon des « modes d’action nouveaux, imprévisibles et plus insidieux, privilégiant l’intimidation et la manipulation, dans une forme de guerre nouvelle, indiscernable et non revendiquée, pour obtenir par le fait accompli des gains stratégiques indéniables. » Opex360
Placement / investissement
>>>
JUIN2020 Banque, fonds d'investissement, leasing : une offre
privée pour financer la BITD européenne. Après "Socle
défense", Fabrice Wolf revient avec un projet plus solide et
plus complet. Il s'appuie sur une banque, un fonds d'investissement
et une société de leasing déclinée dans la plupart des pays
européens pour financer des projets de défense. Une façon de
sortir ces dépenses de la dette souveraine. (LaTribune)
>>> NOV2017
Et si les Rafale, les Tigre et les Leclerc étaient financés par un
plan d'épargne populaire (LaTribune)
Gouverner, c’est
prévoir
>>>
JUIN2020 L’armée de terre envisage de futurs affrontements «
Etat contre Etat »
Le général Thierry
Burkhard présente mercredi son plan stratégique face aux
affrontements du futur et regrette le carcan bureaucratique qui a
entamé le moral des troupes.
(…) L’armée
attend de nouveaux affrontements, « symétriques, Etat
contre Etat ». La guerre en Libye, avec le partage du
terrain qu’ont organisé la Russie et la Turquie, démontre qu’ils
peuvent arriver plus vite que prévu, et ce non loin de la France.
L’Europe, juge le général, « est cernée »
par « la militarisation sans complexe du monde ».
« Nos adversaires nous testent de plus en plus durement,
sans craindre d’aller à l’incident. » Or, a-t-il
expliqué à ses troupes dans une vidéo interne, « le
moindre incident peut dégénérer en escalade militaire non
maîtrisée ».
Après la
réoccupation de la Rhénanie par l'Allemagne hitlérienne le 7 mars
1936, "la France renonce à toute action et donc aussi
à toute crédibilité sur ses engagements. Les Alliés en prennent
acte. La Pologne se rapproche du Reich et la
Belgique dénonce le traité de 1920 préférant la neutralité
à l'alliance française peu sûre, rendant d'un coup très incomplet
notre système défensif. En réalité, la France avait
cessé d'être une puissance à partir du moment où, en renonçant à
toute capacité d'intervention, elle s'était condamnée à n'être
que spectatrice des évolutions du monde. A ramener trop près de son
cœur son outil de défense, elle avait laissé les menaces
extérieures grossir puis venir à elle, sans même le soutien d'amis
qu'elle ne pouvait aider. Pour paraphraser Churchill, la
France avait sacrifié son honneur, son rang et sa voix dans les
instances internationales à l'illusion de la sécurité et d'un
certain confort, moral et économique, pour finalement tout perdre en
1940" (Michel Goya).
(…) Aujourd'hui,
faute de se penser en tant que puissance, l'Europe est menacée par
tout type de prédation par les trois grandes puissances du "triangle
stratégique", qui jouent habilement des manques de cohérence
et de cohésion de la construction européenne. Les Chinois savent
appuyer sur nos "contradictions internes", maître-mot de
la doctrine communiste, notamment sous sa forme maoïste. Les Russes
ont gardé de l'héritage soviétique une habileté manifeste pour la
manipulation de l'information et des perceptions. Quant aux
Américains, ils sont en position de profiter des avantages d'une
vassalisation consentie ; mais la finalité d'une dépendance
est toujours le pillage. LaTribune
>>> MAI2020 Cinq propositions pour l'Europe de la défense (Latribune)
>>> AVR2020 La France et l'Allemagne lancent enfin le char européen du futur (MGCS)
L'Allemagne et la France ont signé deux accords pour lancer le développement d'un nouveau système de combat terrestre (Main Ground Combat System) destiné à remplacer dans les années 2030 les chars Lepoard 2 et Leclerc. Latribune
>>> MARS2020 Sahel : Le groupement européen de forces spéciales officiellement lancé Opex360
>>> DEC2019 La France peut-elle être le nouveau parapluie nucléaire de l’Europe ?
CHRONIQUE. Alors que les dirigeants
des pays membres de l’Otan se réunissent à Londres les 3 et
4 décembre pour un sommet à l’occasion des 70 ans de
l’Alliance atlantique, la question du « partage » du
parapluie français revient dans le débat.
La petite phrase d’Emmanuel Macron
sur l’Otan qui serait « en état de mort cérébrale »
a fait ressurgir une querelle d’experts qui devra bien, un jour,
devenir un débat public. La dissuasion nucléaire française
peut-elle jouer le rôle de « parapluie » pour toute
l’Europe ? Cette question, qui peut sembler bien éloignée
des préoccupations de l’immense majorité des Européens, très
abstraite en l’absence de menace explicite sur l’Union, mérite
pourtant qu’on s’y attarde.
Aujourd’hui, les 28 Etats
membres de l’Union européenne présentent une grande diversité de
situations. L’UE compte deux puissances – la France et le
Royaume-Uni - , et bientôt une seule une fois le Brexit entré en
vigueur, peut-être, dès le début de 2020. Les autres sont soit
membres de l’Otan, et donc placés sous le parapluie nucléaire
américain, soit neutres et donc théoriquement sans autre protection
que la solidarité qui lie … LObs
>>> SEPT2019 L'Europe de la défense fait ses premiers pas dans les missiles Florence Parly a officialisé un partenariat européen avec la Belgique et Chypre dans les missiles de moyenne portée. Cilas, filiale d'ArianeGroup, a achevé le tour de table d'une recherche sur une arme laser européenne de grande puissance. Ces avancées de l'Europe de la défense posent la question de la nomination d'un Commissaire spécialisé sur ces sujets. LesEchos
>>> AOUT2019 Barkhane : Pour la première fois, les soldats estoniens ont participé à une opération franco-malienne à Gao Opex360
>>> AOUT2019 La Suède confirme sa volonté de rejoindre l’Initiative européenne d’intervention, lancée par la France Opex360
17 juin 2019 (industrie européenne de la défense)
>>> Macron lève le voile sur l’avion de combat du futur Lefigaro
12 juin 2019 (industrie européenne de la défense)
>>> Avion de combat du
futur : l'Allemagne et la France défient l'hyperpuissance des
Etats-Unis
En dépit des négociations difficiles,
la France et l’Allemagne vont atterrir d’ici à la fin de l’été
pour faire décoller le système de combat aérien du futur (SCAF).
Face à la volonté des Etats-Unis de torpiller ce projet, Etats
partenaires et industriels y ont le même intérêt, la réussite
d’un programme hors norme pour l’Europe en général, et l’Europe
de la défense, en particulier. Ce sera l'un des thèmes abordés
lors du Paris Air Forum, organisé par La Tribune et qui se déroulera
le 14 juin à la Maison de la Mutualité. Le Délégué général
pour l’armement Joël Barre, le Chef d’état-major de l’Armée
de l’air, le général Philippe Lavigne et le PDG de Dassault
Aviation, Eric Trappier, débattront sur le thème "Puissance
aérospatiale : la France face aux enjeux du futur". LaTribune15 mai 2019
>>> Les États-Unis critiquent les initiatives de l’UE en faveur de l’industrie européenne de la défense Opex360
8 mai 2019 (porte avion européen)
>>> La France estime que les conditions sont loin d’être réunies pour le porte-avions européen proposé par Berlin Opex360
11 mai 2019 (Arctic Challenge Exercice)
>>> L’armée de l’Air met le paquet pour l’édition 2019 de l’Arctic Challenge Exercice
(...) Ces manoeuvres aériennes se dérouleront dans un contexte marqué par des tensions entre la Russie et les pays scandinaves. Opex360
20 mars 2019 (armée européenne)
>>> Le casse-tête du
porte-avions européen
La proposition de la leader de la CDU
allemande de faire un porte-avions européen serait une première.
Mais le sujet semble trop sensible pour ouvrir la porte à une
coopération avancée.
Annegret Kramp-Karrenbauer, qui a
succédé à Angela Merkel à la tête de la CDU a répondu par une
tribune à celle d’Emmanuel Macron sur la politique européenne.
Parmi les propositions qui divergent de celles du président français
figure celle de la création d’un « porte-avions européen ».
(Euractiv)
>>> L'Espagne va monter à bord du futur avion de combat franco-allemand (LaTribune)
12 février 2019
>>> Comment l'Europe veut se libérer de la tutelle américaine pour la vente d'armes. Actuellement, toute arme contenant des composants américains est obligée d'obtenir un feu vert "ITAR" avant d'exporter vers un pays tiers. (Lobs)
5 février 2019
>>> La France et
l'Allemagne vont notifier le premier contrat du SCAF à Dassault et
Airbus.
Au-delà des déclarations d'intention
et des annonces, la France et l'Allemagne veulent montrer au monde
entier que l'avion de combat européen du futur (Système de combat
aérien du futur ou SCAF) est un programme qui décolle. Moins
de trois mois après l'annonce de son lancement, Paris et Berlin vont
notifier mercredi lors d'une visite des deux ministres de la Défense,
Florence Parly et son homologue allemande Ursula von der Leyen sur le
site de Safran à Gennevilliers, le premier contrat du programme SCAF
à Dassault Aviation et à Airbus. Les deux pays vont financer à
parts égales 65 millions d'euros sur deux ans pour définir
l'architecture et le concept du programme. LaTribune
>>> Mme Parly explique ce qu’il faut entendre par « armée européenne » (Opex360)
30 janvier 2019
>>> La Pologne intéressée par une participation au programme franco-allemand de char du futur (Opex360)
Malgré des moyens limités, les forces armées tchèques augmentent leur participation aux opérations de l’Otan et de l’UE (Opex360)
24 janvier 2019
>>> Et si le deuxième
porte-avions était allemand ?
LE CERCLE/POINT DE VUE - Plutôt que
de fabriquer un petit frère au « Charles-de-Gaulle »,
constituons une « Euroflotte » dans
laquelle s'intégreraient notre propre navire de guerre et un futur
porte-avions allemand.
Le débat sur la défense européenne a
été spectaculairement relancé par les déclarations du
président de la République au cours de son « itinérance
mémorielle ». La réaction courroucée du président des
Etats-Unis, mais surtout la prise de position de la chancelière
allemande ont donné une consistance politique de premier plan à ce
qui n'aurait pu constituer qu'une simple déclaration d'intention,
inspirée par les circonstances.
Dans ces colonnes, l'économiste
Jacques Delpla, prenant la balle au bond, a franchi fort
opportunément une étape supplémentaire en imaginant, non sans
audace, quelles pourraient être la substance
et la gouvernance d'un tel projet : son idée repose sur le parallèle
intéressant qu'il établit avec les institutions monétaires de la
Communauté européenne. Les experts militaires objecteront à coup
sûr que la conduite de la guerre est peu comparable à la gestion
d'une monnaie, fût-ce en cas de crise : qu'importe, car le
mérite reste immense de déplacer ainsi le débat des simples
intentions à la mise en oeuvre, sans quoi la défense européenne
restera éternellement le serpent de mer qu'elle est devenue peu ou
prou depuis l'échec cinglant de la CED en 1954.
Notre proposition est différente. Elle
consiste à s'inscrire dans la lignée des initiatives concrètes,
souvent mal connues du grand public, qui ont été matérialisées
par la France et l'Allemagne, et à leur suite la Belgique (1993),
l'Espagne (1994), et le Luxembourg (1996), en créant l'Eurocorps,
devenu le corps de réaction rapide européen, fort aujourd'hui de
60.000 hommes sous commandement intégré (le général allemand
Jürgen Weigt depuis 2017). Il s'agirait ainsi d'étendre l'accord de
Petersberg aux forces aéronavales en constituant une « Euroflotte »,
où s'intégreraient notre porte-avions nucléaire
« Charles-de-Gaulle » et un futur porte-avions
(« Konrad-Adenauer » ?) de la même classe, que
l'Allemagne déciderait d'apporter au dispositif.
Des avantages certains
Cette proposition nous paraît avoir de
multiples avantages. Symbolique, d'abord : l'axe du monde
reste une épée, et on imagine l'impact sur les consciences
européennes et mondiales d'un « Charles-de-Gaulle »
croisant aux côtés d'un « Konrad-Adenauer » sous
pavillon de l'Euroflotte ! Quel spectaculaire grand projet qui
redonnerait ce souffle, qui lui manque tant, à la construction
européenne !
Politique ensuite : le cadre
juridique existe, il respecte les souverainetés nationales, c'est un
point essentiel dans ce domaine, et il a convenablement fonctionné
jusqu'à présent, notamment dans le cadre de la KFOR dans
l'ex-Yougoslavie.
Stratégique : cette initiative
aéronavale donnerait à l'Europe une capacité de projection de
forces qui lui fait aujourd'hui cruellement défaut et que, au
demeurant on sait que la France, seule, perd à chaque mise en
carénage de son unique plate-forme.
Economique : il permettrait à
l'Allemagne, par un engagement fort et lourd de sens, de reprendre
dans un cadre européen un effort de défense permettant de partager
plus équitablement le « fardeau militaire » avec la
première puissance économique du Vieux Continent.
Industrielle enfin : la
construction du porte-avions nucléaire allemand serait un enjeu
fédérateur pour cette hypothétique industrie européenne de
défense, où, au passage, Naval Group (ex-DCNS) serait en situation
de devenir le noyau dur et le fer de lance d'une sorte d'« Airbus
naval » de défense.
« Last but not least » :
le difficile débat budgétaire ouvert en France par le ministère
des Armées et l'état-major des armées sur le deuxième
porte-avions pourrait trouver ainsi une heureuse sortie par le haut…
Alain Bloch est
directeur du master HEC Entrepreneurs, LesEchos
>>> JAN2019. Les Européens achètent de plus en plus d’avions de chasse américains.
(…) Cette inconséquence européenne
est troublante. Mais plutôt que d’accuser les États-Unis
d’interventionnisme industriel, les Européens devraient se
regarder dans le miroir. L’industrie aéronautique européenne
est aujourd’hui éclatée entre trois constructeurs (Airbus,
Dassault, Saab). Ce qui l’empêche d’avoir un modèle unique et
donc de faire des économies d’échelle. Elle ne dispose pas
d’une offre de « second choix », les fameux F-16 d’occasion,
qui permet de s’équiper à moindre coût. Et les pays européens
sont incapables de proposer une offre complète, politique,
économique, académique et opérationnelle, comme le font les
Américains. Offre qui va de l’accueil des stagiaires officiers
dans les écoles militaires aux facilités financières pour
l’équipement, à la présence militaire, parfois permanente, dans
le pays, à titre de réassurance politique. Euractiv
(...) Dans un tel contexte, il est urgent de réfléchir à la façon d’associer des Etats qui, tels les ex PECO (Pays d’Europe Centrale et Orientale) ou les pays scandinaves, sont très attachés à la relation atlantique, et éprouvent une méfiance instinctive à l’égard de l’Europe de la défense. A cet égard, deux priorités doivent guider les autorités françaises.
Premièrement, cesser de stigmatiser ces pays au motif que leur approche de la sécurité diffère de la nôtre. Qu’on le veuille ou non, ces pays, dirigés par des majorités démocratiquement élues, sont souverains. Ils expriment des positions en matière de défense, notamment un attachement à l’Otan, qu’il est loisible de critiquer, mais qu’il faut faire l’effort de comprendre à l’aune de leur histoire récente, marquée par un demi-siècle de joug communiste.
Deuxièmement, et surtout, il est urgent de se souvenir qu’au-delà de l’idéologie, un pays comme la Pologne doit être regardé comme un allié potentiel à maints égards. Si l’intuition qui sous-tend la volonté française de bâtir une défense européenne puise sa raison d’être dans l’identification de menaces potentielles, en particulier à l’Est, quel pays mieux que la Pologne, peut, par son Histoire, comprendre les ressorts profonds d’une telle approche ? A l’occasion des cérémonies du 11 novembre à Paris, Emmanuel Macron a souligné l’instabilité de l’environnement géopolitique.
LOpinon
>>> DEC2018. Airbus, Leonardo : l'Espagne s'offre 23 NH90 supplémentaires.
L'Espagne a signé un contrat avec le
consortium NHIndustries, composé d'Airbus Helicopters, Leonardo et
le néerlandais Fokker portant sur l'acquisition de 23 NH90, dont
sept dans une version navale tactique. LaTribune
>>> DEC2018. Pourquoi Florence
Parly insiste tant sur l'importance stratégique du spatial
militaire. LaTribune
>>> DEC2018. La Hongrie commande 44 chars Leopard 2A7+ et 24 obusiers PzH 2000 auprès de Krauss-Maffei Wegmann.
Après avoir commandé 36 hélicoptères militaires, dont 20 H145M et 16 hélicoptères H-225M « Caracal », auprès d’Airbus Helicopters, la Hongrie, par ailleurs membre de l’Otan et de l’Union européenne depuis 2004, vient une nouvelle de se tourner vers un industriel européen pour moderniser ses forces armées dans le cadre de son programme « Zrinyi 2026 ». Opex360
>>> DEC2018. Le partenariat stratégique franco-belge dans le domaine des blindés médians se met en place. Opex360
>>> DEC2018. La Hongrie commande 16 hélicoptères H-225M « Caracal » auprès d’Airbus.
Contrairement à d’autres pays membres de l’Union européenne, et même si ses relations avec Bruxelles sont souvent houleuses, la Hongrie [aussi membre de l’Otan, ndlr] joue la carte européenne en matière d’aéromobilité. Ainsi, après avoir commandé, en juin, 20 hélicoptères militaires H145M auprès d’Airbus Helicopters dans le cadre de son plan de modernisation Zrinyi 2026, Budapest vient de notifier un nouveau contrat au constructeur implanté à Marignane. Opex360
>>> DEC2018. L'armée allemande commande sept hélicoptères à Airbus pour rajeunir sa flotte. Challenges
>>> DEC2018. L’Espagne veut s’inviter dès maintenant dans le développement du système de combat aérien futur franco-allemand. Opex360.
>>> NOV2018. Le futur avion de combat européen va décoller industriellement en janvier 2019. LaTribune
>>> DEC2018. La Hongrie commande 44 chars Leopard 2A7+ et 24 obusiers PzH 2000 auprès de Krauss-Maffei Wegmann.
Après avoir commandé 36 hélicoptères militaires, dont 20 H145M et 16 hélicoptères H-225M « Caracal », auprès d’Airbus Helicopters, la Hongrie, par ailleurs membre de l’Otan et de l’Union européenne depuis 2004, vient une nouvelle de se tourner vers un industriel européen pour moderniser ses forces armées dans le cadre de son programme « Zrinyi 2026 ». Opex360
>>> DEC2018. Le partenariat stratégique franco-belge dans le domaine des blindés médians se met en place. Opex360
Belgian Army |
Contrairement à d’autres pays membres de l’Union européenne, et même si ses relations avec Bruxelles sont souvent houleuses, la Hongrie [aussi membre de l’Otan, ndlr] joue la carte européenne en matière d’aéromobilité. Ainsi, après avoir commandé, en juin, 20 hélicoptères militaires H145M auprès d’Airbus Helicopters dans le cadre de son plan de modernisation Zrinyi 2026, Budapest vient de notifier un nouveau contrat au constructeur implanté à Marignane. Opex360
>>> DEC2018. L'armée allemande commande sept hélicoptères à Airbus pour rajeunir sa flotte. Challenges
>>> DEC2018. L’Espagne veut s’inviter dès maintenant dans le développement du système de combat aérien futur franco-allemand. Opex360.
>>> NOV2018. Le futur avion de combat européen va décoller industriellement en janvier 2019. LaTribune
>>> NOV2018. Ces cicatrices
mal fermées des deux Guerres qui pourraient se rouvrir en Europe.
Les guerres redeviennent possibles
entre grandes puissances, d’où l’intérêt d’affirmer au plus
vite une Europe politique dotée d’une Défense commune. Mais un
président français impopulaire et une chancelière allemande
affaiblie peuvent-ils relever ce défi ?
On le sait peu. Les chancelleries le
savent mais elles-mêmes ont tant de difficultés à y croire que
l'effroi le leur fait oublier et c'est pourtant vrai. Alors qu'il
s'entretenait avec l'actuel président du Conseil européen, Donald
Tusk, à l'époque Premier ministre polonais, Vladimir Poutine lui
avait laissé comprendre que, si la Russie annexait l'Ukraine
orientale, elle serait disposée à laisser la Pologne annexer
l'Ukraine occidentale qui fut polonaise et dont l'Eglise est uniate,
c'est-à-dire unie à Rome.
Donald Tusk en avait été si saisi
qu'il n'avait rien répondu. Il pensait, à juste titre, que des
micros pouvaient enregistrer. Même pour repousser cette offre, il ne
voulait pas qu'il y ait une seule trace de discussion sur
l'éventualité d'un partage de l'Ukraine. Après un long blanc
interdisant tout montage de l'enregistrement il était passé au
temps qu'il faisait et autres banalités mais, sortant de
l'entretien, plutôt pâle, il avait tout raconté à ses plus
proches collaborateurs afin qu'il y ait des témoins de son émotion,
au cas où.
L'affaire en est restée là mais ce
moment est particulièrement bien connu de l'entourage de Viktor
Orban, le Premier ministre hongrois, qui cultive des liens étroits
avec les diasporas hongroises que le Traité de Trianon a dispersées
dans les pays voisins en retirant à la Hongrie les deux tiers de son
territoire à la fin de la Première guerre mondiale. Si l'Ukraine se
trouvait partagée entre la Pologne et la Fédération de Russie, la
Hongrie pourrait réclamer sa part et cette éventualité est
aujourd'hui envisagée à Budapest, non pas dans une connivence avec
la Russie de Vladimir Poutine mais comme une possible évolution à
laquelle il faut naturellement se préparer.
C'est un exemple. Après l'annexion de
la Crimée, première annexion territoriale que le continent Europe
ait connue depuis la Deuxième guerre mondiale, bien des cicatrices
mal fermées des deux Guerres pourraient se rouvrir en Europe où le
nationalisme renaît. L'un et l'autre nationalistes et incluant des
partis d'extrême droite, les gouvernements italien et autrichien
sont supposés proches mais la question du Sud-Tyrol les divise. La
Roumanie serait absolument fondée à faire valoir ses droits sur la
Moldavie. Il n'est pas du tout prouvé, bien au contraire, que
l'Europe occidentale laisserait sans réagir la Russie se réinstaller
en Ukraine et, moins encore, dans les pays baltes, membres de l'Otan
et de l'Union européenne. …. Challenges
>>> NOV2018. Les pays
européens vont ouvrir une école d’agents secrets.
Les ministres de la Défense et des
Affaires étrangères se sont mis d’accord sur 17 nouveaux projets
d’armement et militaires dans le cadre de la coopération
structurée permanente, dont l’ouverture d’un centre de formation
pour les agents secrets. Euractiv>>> NOV2018. L’Union européenne est « extrêmement inquiète » de l’avenir du traité sur les forces nucléaires intermédiaires.
Quand, à la fin des années 1970, l’Union soviétique déploya ses missiles nucléaires de portée intermédiaire SS-20, l’Europe occidentale, qui n’avait pas les moyens de répondre à cette menace, se tourna vers les États-Unis, qui, à leur tour, envoyèrent des missiles Pershing II afin d’équilibrer les forces sur le Vieux Continent. Cette crise, dite des « euromissiles », prit fin en 1987, après la signature du traité sur les Forces nucléaires intermédiaires [FNI]. Opex360
>>> NOV2018. Armée européenne : un tabou est levé (…) il semble difficile de dérouler ce projet dans le cadre actuel de l’Union européenne. Euractiv
>>> NOV2018. Angela Merkel se prononce en faveur d’une « véritable armée européenne ». Pour son premier discours depuis onze ans devant le Parlement européen, la chancelière allemande a estimé que cette armée « compléterait l’OTAN », une idée évoquée par Macron. Lemonde
>>> NOV2018. Défense européenne: pourquoi Macron prêche dans le désert.
Sur CNN, le président français a appelé les Etats européens à augmenter leur contribution à l’OTAN, mais en achetant européen plutôt qu’américain. Un vœu pieux, vu le réflexe d’achat américain de nombreux pays européens. Challenges
>>> NOV2018. Macron: l'Europe doit bâtir une défense autonome au lieu d'acheter des armes américaines.
L'Europe doit "bâtir l'autonomie" de sa défense plutôt qu'acquérir des armements produits par les États-Unis, prône Emmanuel Macron dans une interview à CNN dimanche.
"Je ne veux pas voir les pays européens augmenter le budget de la défense pour acheter des armes américaines ou autres, ou des matériels issus de votre industrie", affirme en anglais le président français dans un extrait de cet entretien enregistré samedi : "Si nous augmentons notre budget, c'est pour bâtir notre autonomie." L'Obs
>>> NOV2018. Avec la
Finlande, 10 pays rejoignent l’initiative européenne
d’intervention militaire. Euractiv
>>> NOV2018. Neuf pays se
retrouvent pour faire avancer l’Europe de la défense.
Pour l’heure, l’IEI née en juin
compte la France, l’Allemagne, la Belgique, le Danemark, les
Pays-Bas, l’Estonie, l’Espagne, le Portugal et le Royaume-Uni,
maintenu par ce biais à bord de la défense européenne malgré le
Brexit. De source proche du dossier, la Finlande doit annoncer
son intention de rejoindre les rangs de cette structure. OuestFrance
>>> OCT2018. EN VUE Charles
Michel. L'Europe en piqué.
En choisissant un avion de chasse
américain pour équiper la flotte de chasse belge, le Premier
Ministre fait peu de cas de ce qui devrait être l'impératif
européen. A sa décharge, il n'est pas le seul.
Les blagues belges sont souvent
désopilantes, la dernière est saumâtre. Le choix par la Belgique
d'un avion de chasse américain putatif alors que le Rafale et
l'Eurofighter ont fait leurs preuves est un peu désespérant. Grâce
à l'action de Michel Barnier, leur négociateur des conditions du
Brexit, les européens commençaient un peu à bomber le torse en
montrant que, mais oui, ils pouvaient présenter un front uni.
Dernières illusions… LesEchos
>>> OCT2018. Bruxelles
ménage la France avec l'achat de 442 blindés.
Les industriels français de l'armement
terrestre décrochent enfin la signature d'une commande de
442 blindés en Belgique. Dans les avions de combat, Dassault et
le gouvernement se sont trompés de stratégie. LesEchos
>>> OCT2018. F-35 en
Belgique : chronique d'une trahison annoncée de l'Europe de
la défense. Selon la presse belge, Bruxelles a choisi l'avion
américain, le F-35. Le gouvernement belge souhaite acheter 34 avions
de combat pour remplacer ses F-16 vieillissants. Un contrat initial
estimé à 3,6 milliards d'euros. LaTribune
. Et tant pis pour le Rafale et le Typhoon européen (Lemonde)
>>> AOUT2018. Armement : entre l'Europe et les Etats-Unis, la Suède choisit Washington.
>>> JUIL2018. Si elle choisit le F-35, la Belgique ne pourra pas participer au projet d’avion de combat franco-allemand. Opex360
>>> JUIL2018. Vu d’Ukraine. Prochain objectif de Poutine, la destruction de l’Otan. CI
>>> JUIL2018. L'Ukraine s'offre 55 hélicoptères d'Airbus Helicopters. LaTribune
>>> JUIN2018. La Hongrie commande 20 hélicoptères militaires à Airbus L'Opinion
>>> JUIN2018. Les trois défis majeurs du futur avion de combat européen.
>>> JUIN2018. Pétrolier ravitailleur : la France monte à bord du programme italien Vulcano LaTribune
>>> JUIN2018. Ca se passe en
Europe : la Belgique et les Pays-Bas mutualisent leurs
équipements militaires. Les marines des deux pays vont s'équiper en
commun de 16 navires militaires afin de réaliser des économies sur
les coûts d'achat et de maintenance. LesEchos
>>> JUIN2018. Bruxelles
présente son Fonds européen pour la défense Lemonde
>>> JUIN2018. Défense: la
France s’offre corps et âme à l’Europe. Paris veut accélérer
la coopération européenne dans le domaine de la défense. La
plupart des pays européens n’hésite pourtant pas à acheter
américain ou profiter du volontarisme européen de la France pour
renforcer leurs industries. LaTribune
>>> JUIN2018. Le premier blindé franco-allemand est né. Le français Nexter et l'allemand KMW présentent au salon de l'armement terrestre Eurosatory, le premier char jamais développé en commun par les deux pays. lefigaro
Vers la fin de "l'occident" ?
>>> JUIN2018. POINT DE VUE.
L’Alliance atlantique en danger.
(…) Aujourd’hui, pour la première
fois depuis la naissance des États-Unis, un président américain
bafoue ce lien historique. Donald Trump ébranle l’Otan, rejette
l’accord sur le climat, déchire celui sur le nucléaire iranien,
entame une guerre commerciale contre l’Europe. Mépriser ainsi ses
alliés, c’est ignorer trois évidences.
La sécurité, d’abord. Depuis sept
décennies, l’Alliance atlantique a formé un pôle de stabilité
indispensable à la paix et la prospérité de l’Europe, mais aussi
à celles des États-Unis. L’America First de Trump,
solitaire et repliée sur soi, est vouée à l’impuissance. À
l’heure du terrorisme, de la montée des populismes, de la
nostalgie des empires et du chaos au Moyen Orient, la coopération
transatlantique en matière de diplomatie, de renseignement et
d’initiatives militaires est indispensable à la sécurité de
tous.
L’économie, ensuite. C’est une
folie suicidaire dans un monde ouvert que de prôner des logiques
commerciales fermées. Trump dresse des barrières douanières contre
lesquelles l’Europe devra bien sûr riposter. Les deux continents
vont en souffrir, la Chine en sera renforcée.
Enfin et surtout, nos valeurs. Pour
défendre la liberté, l’égalité et la fraternité, nous n’avons
pas d’alliés de rechange. Ni la Russie ni la Chine ne se rangeront
à nos côtés. Quand l’Amérique est menacée de sombrer du côté
obscur qui a toujours fait partie de son histoire, seule l’Europe
peut et doit lui rappeler ses propres principes fondateurs. Ma mère
n’aurait pas imaginé que, soixante-quatorze ans plus tard, il
serait encore nécessaire d’alerter : il y a danger de mort à
pulvériser, comme le fait Donald Trump, la précieuse alliance des
démocraties.
>>> MAI2018. Le premier fonds européen pour l’industrie de la défense démarre. Euractiv
>>> MAI2018. Premiers pas vers une défense européenne. Le budget militaire de 20 milliards envisagé par l'UE vise à acquérir de nouveaux équipements, pas à financer des opérations. L'Express
>>> MAI2018. L’armée française veut réduire sa dépendance aux avions gros-porteurs étrangers
>>> MAI2018. L’Estonie donne le détail de sa participation à l’opération Barkhane Opex360
>>> AVR2018. Budget : 20 milliards d'euros pour l'Union européenne de la Défense. LaTribune
>>> ARV2018. La France prend le manche du futur avion de combat européen LaTribune
>>> AVR2018. Les frappes contre le programme chimique syrien auraient eu quelques « couacs ». Opex360 . Bugs du MdCN et du Scalp : c’est grave, docteur ? Challenges
>>> AVR2018. Europe de la défense : dépasser la politique des petits pas. Une défense européenne digne de ce nom se doit de garantir la sécurité de ses citoyens où qu'ils se trouvent, de protéger ses infrastructures et de défendre ses intérêts partout dans le monde. Or, peu d'Etats ont la capacité de répondre seuls à l'ensemble des besoins de défense. La complémentarité au niveau européen s'impose. Par l'association EuroDéfense-France, tribune collective LaTribune
>>> MARS2018. La Commission européenne présente un plan pour améliorer la mobilité militaire au sein de l’Union. Certains responsables politiques se plaisent à évoquer une hypothétique « armée européenne ». Mais jusqu’à présent, aucun n’avait songé à prendre cette mesure de simple bon sens qui consiste à faciliter les déplacements des militaires des pays membres dans l’espace de l’Union européenne (UE). Mieux vaut tard que jamais, c’est désormais chose faite. Opex360
>>> MARS2018. Défense de l'Europe : des Patriot américains pour la Pologne.
La Pologne va acheter en deux phases le système de défense anti-aérienne américain Patriot. Selon l'Agence américaine de coopération pour la défense et la sécurité, cette opération s’élèverait à 10,5 milliards de dollars. Une fois de plus l'Europe de la défense vole en éclat. C'était la chronique d'une opération annoncée depuis des années. LaTribune
>>> MARS2018. Déploiement de 50 militaires estoniens dans le cadre de l'opération antidjihadiste française Barkhane au Sahel. Opex360
>>> MARS2018. Coopération en matière de défense: le Conseil adopte une feuille de route pour la mise en œuvre de la coopération structurée permanente (CSP) ConsiliumEuropa
>>> MARS2018. Coopération en matière de défense: le Conseil adopte une feuille de route pour la mise en œuvre de la coopération structurée permanente (CSP) ConsiliumEuropa
>>>
MARS2018. Une étape historique pour la défense européenne. Les États membres
de l’UE ont adopté leur feuille de route pour une coopération
plus étroite dans le domaine de la défense, avec 25 États membres
participants. Euractiv
>>> MARS2018. Défense européenne : si elle inquiète c'est qu'elle progresse.
Charles de Marcilly revient sur les dernières avancées de l'Europe de la Défense. Ecouter l'émission : RCF
>>> FEV2018. L'Estonie veut que l'UE dépense plus pour défendre ses frontières.
Préoccupée par l'intensification des activités militaires russes, l'Estonie a appelé dimanche ses partenaires européens à dépenser davantage pour défendre les frontières extérieures de l'Union. Yahoo
>>> FEV2018. L’Otan s’inquiète des initiatives de l’Union européenne en matière de défense Opex360
>>> FEV2018. L'idée d’une défense européenne est aussi vieille que les débuts de la construction européenne. Mais, depuis l’échec de la CED, la Communauté européenne de défense en 1954, l’Europe de la défense a davantage été théorisée, lors de savants colloques plutôt que dans les faits.
Mais, les temps changent, les menaces aussi. L’engagement américain, au sein de l’Otan déjà moindre, risque d’être remis en question à tout moment par l’imprévisible Donald Trump, alors que la Russie de Vladimir Poutine redevient menaçante, et que le risque terroriste s’étend désormais un peu partout en Europe. Témoin de cette prise de conscience, vingt-cinq pays de l’Union européenne ont, en décembre 2017, célébré la naissance historique de l’Europe de la défense en souscrivant à dix-sept initiatives dans le cadre d’une Coopération structurée permanente (CSP, selon l’acronyme européen)… qu’il faut bien sûr encore mettre en œuvre. (RFI)
>>> JAN2018. L'armée française prend ses quartiers en Lituanie Libération
>>> DEC2017. Coopération structurée permanente. Un étroit chemin vers une défense européenne InstitutThomasMore
>>> NOV2017. L’Union européenne s’engage dans une coopération militaire renforcée, qui prévoit notamment des projets de développement de matériel militaire communs. LeMonde
>>> L'Europe de la sécurité et de la défense expliquée Taurillon
>>> Armée européenne commune, mode d’emploi Leuropeen
ALLIANCES
>>> AVR2018. Des Rafale traversent l'Atlantique pour embarquer avec l'US Navy.
Pour ne pas perdre la main pendant que le porte-avions « Charles de Gaulle » est en cale sèche, l'aéronavale française s'entraîne aux États-Unis. (...) Le contre-amiral Guillaume Goutay, commandant de la force de l'aéronautique navale, salue « un niveau de confiance absolument unique » entre Français et Américains, ces derniers mettant « à notre disposition pendant deux semaines un porte-avions nucléaire ainsi que 40 avions embarqués F-18 pour nous procurer un entraînement du meilleur niveau possible » Lepoint
>>> AVR2018. La complexe coopération entre l’UE et le Royaume-Uni en matière de défense. Le Royaume-Uni a toujours eu un rapport conflictuel avec les ambitions de défense de l’UE. Pourtant, le pays souhaite continuer à participer aux programmes de l’UE après le Brexit. Euractiv
Pour ne pas perdre la main pendant que le porte-avions « Charles de Gaulle » est en cale sèche, l'aéronavale française s'entraîne aux États-Unis. (...) Le contre-amiral Guillaume Goutay, commandant de la force de l'aéronautique navale, salue « un niveau de confiance absolument unique » entre Français et Américains, ces derniers mettant « à notre disposition pendant deux semaines un porte-avions nucléaire ainsi que 40 avions embarqués F-18 pour nous procurer un entraînement du meilleur niveau possible » Lepoint
>>> AVR2018. La complexe coopération entre l’UE et le Royaume-Uni en matière de défense. Le Royaume-Uni a toujours eu un rapport conflictuel avec les ambitions de défense de l’UE. Pourtant, le pays souhaite continuer à participer aux programmes de l’UE après le Brexit. Euractiv
Trois anciens chefs d'Etat-major
signent une tribune pour mettre en garde sur les dangers de notre
monde. Ils appellent à resserrer les liens d'amitié entre alliés
historiques. LesEchos
par
Général Martin Dempsey
, ancien chef d'Etat-major des armées des Etats-Unis
Général Pierre de Villiers
, ancien chef d'Etat-major des armées de France
Général Nick Houghton
, ancien chef d'Etat-major des armées du Royaume-Uni
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