>>> Armer massivement l'Ukraine
>>> Arrêt total d'importation du pétrole russe (pourquoi se borner au gaz?)
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BOYCOTTONS TOTAL, ENGIE, DANONE, AUCHAN, LEROY MERLIN, DECATHLON, EDF, RENAULT, SOCIETE GENERALE...
Le gaz russe arrivant en France suscite la controverse. Un navire méthanier transportant du gaz liquéfié de Yamal, en Russie, est arrivé au terminal d'Engie à Montoir-de-Bretagne vendredi. Yamal est opéré par le gazier russe Novatek en partenariat avec TotalEnergies. Greenpeace accuse le pétrolier français de « financer la guerre ». LesEchos -> voir ici
ET à l'inverse : SOUTENONS LES ENTREPRISES AUX COULEURS DE L'UKRAINE (voir des exemples ici)
>>> Exclusion totale - et pas seulement partielle - de la Russie su Swift
>>> Livraison d’avions de combat aux pilotes ukrainiens
>>> Sanction des entreprises collabos
>>> Arrêt total d'importation de gaz et de pétrole russe. « En coupant le gaz
et le pétrole russes, nous allons avoir plus froid, mais nous pourrons
nous regarder en face avec moins de honte ». Le Prix Nobel de physique (2012) Serge Haroche estime, dans une tribune
au « Monde », que continuer à commercer avec la Russie revient non
seulement à abandonner l’Ukraine à son sort, mais en plus à aider
« cyniquement et objectivement son bourreau à la martyriser ». Lemonde
>>> Embargo international contre la Russie
>>> 12:48 Zelensky réclame un embargo international contre la Russie
Dans une vidéo diffusée lundi, le président ukrainien, Volodimir Zelenski, a une nouvelle fois réclamé l’intervention des Occidentaux : « Combien de morts et de pertes faudra-t-il encore pour sécuriser le ciel au-dessus de l’Ukraine ? Nous attendons cette décision, soit que vous le fassiez avec les forces dont vous disposez, soit que vous nous fournissiez des avions et des systèmes antiaériens qui nous permettront de le faire. »
Il a aussi réclamé de nouvelles sanctions internationales contre la Russie, en proposant un boycott du pétrole et d’autres exportations russes ainsi qu’un arrêt des exportations vers la Russie. « Si l’invasion continue et si la Russie ne renonce pas à ses projets contre l’Ukraine, alors un nouveau train de sanctions sera nécessaire (…) pour le bien de la paix. (…) Boycottez les importations vers la Russie : si elle n’adhère pas aux règles civilisées, elle ne doit pas pouvoir recevoir des biens et des services de la civilisation. Que la guerre la nourrisse », a-t-il dit.
>>> Aide aux volontaires qui vont combattre aux côtés des Ukrainiens
>>> Pousser les soldats à la défection,
accélérer l’entrée de l’Ukraine dans l’Union européenne ou encore
installer un gouvernement en exil : les idées ne manquent pas Lopinion
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Faut-il continuer à consommer français ?
Insupportable. Alors que de la plupart des très grosses occidentales ont arrêté leur activité en Russie, - de BP à Eni, en passant Ikea, de nombreuses entreprises françaises se distinguent en continuant à collaborer avec le régime criminel de Poutine. Ces entreprises, il faut les citer et les boycotter :
- TotalEnergies (préférer Eni par exemple)
- EDF
- Neslé (c’est Suisse, mais on peut boycotter quand même)
- Danone
- Renault
- Leroy Merlin (famille Mulliez)
- Auchan (famille Mulliez)
- Décathlon (famille Mulliez)
- Société générale
- Le compte Instagram de Leroy Merlin en Ukraine a publié lundi une photo du magasin bombardé avec la mention « cessez les ventes en Russie » et un lien vers une pétition en ligne sur le site openpetition.eu demandant à Adeo, la holding de Leroy Merlin, de cesser ses activités en Russie. « Nous demandons vigoureusement à Adeo et à AFM de cesser [leurs] activités en Russie, ce qui privera l’agresseur de l’opportunité de financer » l’offensive russe en Ukraine, souligne cette pétition, qui avait recueilli plus de 7 000 signatures lundi en début d’après-midi.
Sollicitée par l’AFP lundi en milieu de matinée, la communication d’Adeo et de Leroy Merlin n’avait pas réagi à la mi-journée. Peu diserte de manière générale, l’enseigne française avait auparavant décliné toute demande de commentaire sur l’invasion russe en Ukraine.
Leroy Merlin est fortement implanté en Russie, y réalisant plus de 18 % de son activité mondiale.
Auchan et dans une moindre mesure Decathlon sont également présents en Russie. Auchan exploite 231 magasins en Russie, pour un chiffre d’affaires de 3,2 milliards d’euros, soit plus de 10 % de son activité globale. (cf 13:53)
Les 1 200 entreprises françaises présentes en Russie constituent le plus gros employeur privé étranger, avec 160 000 salariés. Si certaines ont d’ores et déjà annoncé la suspension provisoire de leurs activités, d’autres évoquent la nécessité de continuer à fournir des biens essentiels à la population et à payer leurs employés. (Lacroix)
>>> Les entreprises françaises présentes en Russie sous le feu d’appels au boycott
Le président ukrainien a exhorté les firmes tricolores à cesser d’opérer en Russie. La décision de Renault de suspendre ses opérations à Moscou pourrait ébranler Auchan et Leroy-Merlin.
« Renault, Auchan, Leroy-Merlin doivent cesser d’être les sponsors de la machine de guerre de la Russie, arrêter de financer le meurtre d’enfants et de femmes, les viols. » Devant le Parlement français, en visioconférence depuis Kiev, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a exhorté, mercredi 23 mars, les entreprises françaises présentes en Russie à « quitter » le pays. « Tout le monde doit se rappeler que les valeurs valent plus que les bénéfices », a-t-il ajouté. Dans la soirée, le groupe Renault, dont l’Etat est actionnaire, annonçait suspendre ses opérations et étudier ses options pour sa filiale AvtoVAZ.
Leroy-Merlin, lui, persistait dans ses intentions d’y maintenir ses opérations. Et pourtant, de toutes parts, les enseignes détenues par l’Association familiale Mulliez reçoivent l’injonction de tirer le rideau en Russie. A commencer par l’enseigne de bricolage, qui y réalise 5 milliards d’euros de ventes. Lundi 21 mars, déjà, le député ukrainien Oleksiy Goncharenko, sur son compte Twitter, avait fustigé Leroy-Merlin, dont « les impôts payés en Russie financent des missiles ». Avec des images chocs à l’appui : celles des ruines de l’un des plus grands magasins Leroy-Merlin, détruit lors du bombardement du centre commercial Retroville, dans le nord-ouest de Kiev, par l’armée russe, dimanche 20 mars. Sur la Toile encore, des salariés ukrainiens de l’enseigne ont lancé une pétition pour obtenir la fermeture de tous ses magasins russes. Leroy-Merlin est aussi la cible d’appels au boycott sur le Net.
En dépit des décisions de retrait ou de suspension d’activité prises par 400 entreprises étrangères présentes en Russie, selon le décompte de l’université américaine Yale, la mobilisation contre les firmes qui s’obstinent à y conserver leurs actifs prend de l’ampleur. En Suisse, le 21 mars, au lendemain de la visioconférence du président Volodymyr Zelensky lors d’une manifestation pour la paix, à Berne, Actares, association d’actionnaires militants, a demandé au géant suisse Nestlé, « instamment », de considérer l’injonction du président ukrainien à plier bagage. Le lendemain, le collectif Anonymous a revendiqué avoir piraté la base de données de Nestlé.
Liste noire des firmes étrangères en Russie
Sur Facebook, LinkedIn, Twitter et Instagram, les hashtags #stopputin ou #exitrussia fleurissent sur les comptes de multinationales. Le collectif Boycott Russia y martèle ainsi son « Cessez de financer la guerre en Ukraine ». Lancée avec l’appui de Dmytro Dubilet, fondateur de la start-up Monobank, ancien membre du gouvernement ukrainien, et de « 5000 à 7000 bénévoles », cette campagne recense les firmes étrangères présentes en Russie. Son site publie une lettre ouverte à adresser aux dirigeants de ces entreprises. En quelques jours, son audience a atteint un niveau honorable : 730 000 vues sur Twitter et 438 000 sur Instagram.
(Lemonde, 24 mars 2022)
Le cas de TotalEnergie
(ce groupe commence à avoir une histoire de + en + nauséeuse avec l’extrême droite – française et russe . Je renvois aux fiches wikipédia RRRRR et de RRRRRR son ex-pédégé
Pour ma part, c’est décidé : je voterai Jadot aux présidentielles car c’est le seul qui propose clairement un envoi d’armes à l’Ukraine, le seul aussi qui imposera à TotalEnergies de cesser ses activités en Russie. Pourtant, je ne partage pas certaines idées de Jadot, notamment sur le nucléaire, et l’immigration arabo-musulmane. Mais les autres candidats sont bien trop mous – voire collabos - face à Poutine.
>>> TotalEnergies annonce une action en diffamation contre Yannick Jadot, pour l’avoir accusé d’être « complice » des « crimes de guerre » en Ukraine
Le candidat écologiste à l’Elysée a réitéré ses attaques contre le géant pétrolier qui maintient « l’essentiel de ses activités en Russie » mercredi en fin de journée, et a appelé à ce qu’Emmanuel Macron « impose » le départ du groupe français de Russie.
Les attaques répétées de Yannick Jadot contre TotalEnergies pourraient prendre bientôt un tour judiciaire. Le géant pétrolier a annoncé auprès de l’Agence France-Presse (AFP), mercredi 23 mars dans l’après-midi, son intention de « lancer une action en diffamation » contre le candidat écologiste à l’élection présidentielle, pour l’avoir accusé d’être « complice » des « crimes de guerre » commis selon lui par la Russie en Ukraine.
Devant « l’aggravation du conflit », le groupe avait annoncé mardi qu’il arrêterait avant la fin de l’année tout achat de produits pétroliers russes – mais pas de gaz. Précédemment, TotalEnergies avait décidé d’arrêter les apports de capitaux à de nouveaux projets dans le pays. Ces décisions ne signifient toutefois pas que le groupe se retire de Russie.
« C’est une insulte » [mais non, ce n’est pas une insulte : c’est la vérité]
Le matin, le PDG du groupe français, Patrick Pouyanné, avait déclaré sur RTL que « quand M. Jadot accuse les 100 000 salariés de Total, c’est gravissime, c’est une insulte ». « M. Jadot passe son temps à dire du mal de mon entreprise. Ce que j’observe, c’est que ça le fait baisser dans les sondages ; il ferait mieux de s’occuper de sa campagne et d’arrêter de nous insulter », avait-il jugé.
Réponse de Yannick Jadot sur Twitter, quelques heures plus tard : « TotalEnergies, soutenu par E. Macron, fait quelques concessions mais maintient l’essentiel de ses activités en Russie, en pleine connaissance des crimes de guerre qu’elles contribuent à financer. Oui, c’est être complice ! J’appelle Patrick Pouyanné, PDG de Total, à débattre avec moi. »
.@TotalEnergies, soutenu par E. Macron , fait quelques concessions mais maintient l'essentiel de ses activités en R… https://t.co/LJxSrpdfxo
— yjadot (@Yannick Jadot)
Dans sa déclaration à l’AFP, TotalEnergies a dénoncé des « propos inacceptables ». « Etre « complice de crimes de guerre », c’est fournir une aide directe à un Etat ou à une organisation criminelle auteurs des crimes », a écrit le groupe, s’adressant directement à Yannick Jadot : « Vos propos sont particulièrement graves et infondés contre notre compagnie, qui n’opère aucun champ pétrolier ou gazier en Russie. »
« Droits humains »
Dénonçant une « insulte à l’intégrité » de ses équipes, TotalEnergies a affirmé continuer « ses opérations d’achat de gaz en Russie pour le revendre, notamment en Europe pour le bénéfice des consommateurs européens », le tout « dans le strict respect de la politique de l’Union européenne et des mesures de sanctions européennes applicables ».
Deux responsables écologistes sont montés au créneau pour défendre leur candidat sur les réseaux sociaux. « Aucune procédure ne fera taire les écologistes », a écrit la députée Delphine Batho, porte-parole de Yannick Jadot. Faisant référence à Jean-Luc Mélenchon, qui s’est explicitement prononcé contre la cessation des activités de TotalEnergies en Russie, L’eurodéputé David Cormand, ex-numéro un d’Europe Ecologie-Les Verts, a ajouté : « Birmanie, Ouganda, Russie, Tanzanie : partout dans le monde, Total fait passer ses intérêts avant ceux des droits humains et de la protection du climat. Il y a ceux qui pensent que “Total doit rester en Russie”, et il y a les écologistes. »
Yannick Jadot demande à Emmanuel Macron d’« imposer » le départ du groupe français de Russie
M. Jadot a tenu une conférence de presse sur le volet des sanctions à prendre contre la Russie et pour contrer les attaques du PDG de TotalEnergies à son égard, en fin d’après-midi. Le candidat écologiste a fait valoir que cela « fait trop longtemps que dans notre pays ce sont des dirigeants d’entreprise qui dictent les politiques publiques ». Il a ajouté : « Ce n’est pas à M. Pouyanné de nous expliquer quelle est la politique énergétique de la France, quel doit être l’effort de guerre vis-à-vis des Ukrainiennes et des Ukrainiens et du rapport de force à construire vis-à-vis de Vladimir Poutine. »
Revenant sur l’intervention de Volodymyr Zelensky devant les parlementaires français, M. Jadot a rappelé que le président ukrainien avait demandé que les entreprises françaises qui continuent leurs activités en Russie cessent de le faire. Il a ainsi assumé de réitérer ses accusations envers le groupe français :
« Pour ma part, j’accuse l’entreprise TotalEnergies d’être complice des crimes de guerre qui sont perpétrés en Ukraine, en ayant parfaitement connaissance des atrocités qui sont menées en Ukraine, en travaillant avec des groupes économiques proches du pouvoir de Poutine, en travaillant avec des oligarques qui sont visés par des sanctions internationales. Le groupe Total ne peut pas s’exonérer de sa responsabilité. Donc, je persiste et signe : Total est un grand groupe français mais qui en l’occurrence porte le discrédit complet sur la France et porte une responsabilité de participer au financement de la guerre en Ukraine. »
« Il est temps que les complaisances politiques (…), que les conflits d’intérêts (…), qui agissent dans les deux cas systématiquement pour l’intérêt privé au détriment de l’intérêt général, prennent fin », a fait valoir le candidat d’Europe Ecologie-Les Verts. Il a continué en mettant en cause le chef de l’Etat français : « J’accuse le président Macron de complaisance et de cynisme à ce sujet. C’est sa responsabilité première, avant même celle de M. Pouyanné, d’imposer le retrait de Total de Russie. »
Faisant référence aux propos tenus mercredi matin sur RMC à son encontre par le PDG de TotalEnergies, Yannick Jadot estime qu’il s’agit « d’un homme en colère au nom des actionnaires de Total ». « Moi, je suis un homme en colère au nom des Ukrainiennes et des Ukrainiens », a-t-il répondu. « J’ai trouvé d’un cynisme absolu qu’il prétende parler au nom des employés de Total », a ajouté le candidat écologiste.
Il a ainsi de nouveau dit souhaiter que soit mis en place un embargo sur le pétrole russe, « pour mettre fin » à la guerre en Ukraine et « à tout ce régime de complaisances » , au « système Total » et à son « cynisme » partout dans le monde.
Le Monde, 23 mars 2022
>>> Renault, sous pression, suspend son activité en Russie
Le constructeur français cherche un moyen de se désengager du pays en limitant la casse. Cette décision pourrait toutefois lui coûter quelques milliards d’euros.
La pression était devenue trop forte, et ne pas réagir face à l’invasion russe en Ukraine n’était plus tenable. Le groupe Renault – le constructeur automobile de taille mondiale le plus implanté dans le pays de Vladimir Poutine – a annoncé, mercredi 23 mars, dans la soirée, la suspension de son activité industrielle en Russie dans un court communiqué qui a suivi une réunion extraordinaire de son conseil d’administration.
Il s’agit d’une annonce-choc et majeure pour l’entreprise française, détenue à hauteur de 15,01 % par l’Etat, car Renault ouvre désormais la porte à un départ définitif de Russie. Or, ce marché est l’un des plus importants pour l’ex-Régie, plus précisément son deuxième pays après la France en matière de ventes de véhicules (presque 500 000 immatriculations en 2021). Le groupe au losange y possède des activités en propre – une usine dans la capitale – et, surtout, il est propriétaire (à 67,7 %) du constructeur historique AvtoVAZ (marque Lada). Au total, la Russie représente pas moins de la moitié du résultat opérationnel de la division automobile de Renault.
Le Monde, 24 mars 2022
>>> Volodymyr Zelensky demande à l’Union européenne de cesser « tout commerce » avec la Russie
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a appelé lundi l’Union européenne (UE) à cesser « tout commerce » avec la Russie, et notamment à refuser ses ressources énergétiques, dans une vidéo sur la messagerie Telegram. « Pas d’euros pour les occupants, fermez-leur tous vos ports, ne leur envoyez pas vos biens, refusez les ressources énergétiques », a-t-il plaidé. « Sans commerce avec vous, sans vos entreprises et vos banques, la Russie n’aura plus d’argent pour cette guerre », a ajouté le président ukrainien.
Les Européens, très dépendants des hydrocarbures russes, ont exclu de sanctionner ce secteur, très important pour l’économie russe.
« Un tel embargo aurait une influence très sérieuse sur le marché mondial du pétrole, une influence néfaste sur le marché énergétique en Europe », a mis en garde le Kremlin en réponse aux propos de Volodymyr Zelensky. (11:18)
>>> Embargo total sur le pétrole et le gaz russe
>>> livraison d’armes – et d’avion, comme promis – à l’Ukraine
>>> S’en prendre à l’or, ce trésor de guerre amassé par Moscou qui permet à la Russie de soutenir l’invasion de l'Ukraine [Entre 2014 et 2020, la Russie, via sa Banque centrale, a été le pays qui a le plus acheté d'or. Aujourd'hui, elle possède le cinquième stock le plus important au monde. Contrairement à ses réserves en devises, bloquées dans plusieurs pays, son or est déposé dans les coffres de son institution monétaire, ce qui lui permet d'avoir des actifs pour soutenir son effort de guerre malgré les sanctions. Explications sur La Tribune]
>>> Créer des associations de soutien aux volontaires : achat de gilets pare balle, de casque, et autres équipement de protection. Cet équipement coûte cher, c’est pourquoi il faut se regrouper en assoc (un gilet pare balle, c’est au moins 500 euros) ; liens indispensable avec les groupes déjà existant de volontaires. Contactez-moi si vous voulez créer une association de soutien aux soutiens combattants volontaires
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